Vaccins : pratiques et hésitations des médecins généralistes français
Résumé
À l’échelle d’une population, les vaccins contribuent à diminuer la mortalité associée à des maladies infectieuses telles que la rougeole, la diphtérie, le tétanos, l’hépatite B ou encore les méningites bactériennes. Le médecin généraliste de ville, au coeur de cette stratégie préventive, reste la première source d’information pour les familles. Dans un article paru dans la revue Ebiomedecine, Pierre Verger (Unité Inserm 912 « Sciences Economiques & Sociales de la Santé et Traitement de l'Information Médicale – SESSTIM »), et ses collaborateurs, présentent et analysent, dans un contexte de défiance vis-à-vis des vaccins, les attitudes et pratiques de plus de 1 500 médecins généralistes français.
Pour citer ce document
Bureau de presse INSERM. Vaccins : pratiques et hésitations des médecins généralistes français . Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 7 juillet, 2015, 3 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessous