Présentation

Le Service Presse et le département de la communication

L’Inserm a entrepris une véritable politique de communication à partir de 1981, avec la création d’un service de presse, par une décision officielle du 15 janvier 1981. L’article 24 de la loi n° 82-610 du 15 juillet 1982 confie à l’Inserm, Une mission de diffusion de l’information et de la culture scientifique et technique auprès du grand public. C’est dans cette optique qu’est créée en 1983, une Mission de l’Information et de la Communication réunissant plusieurs des bureaux déjà existants dont le Bureau de presse. Ce dernier est réorienté en vertu de la vocation de cette mission d’information et notamment de « la volonté de faciliter les recherches des différents publics concernés par les activités de l’Inserm ». Il prend le nom de « Bureau de Presse et des Relations Publiques ».

En 1991, la Mission de l’Information disparaît pour laisser place au « Département de l’Information et de la Communication » (DIC). En 1997, l’Inserm renforce sa communication interne et externe, auprès du Grand Public en particulier. Le DIC devient « Département de l’Information Scientifique et de la Communication » (DISC).

A cette époque les missions du service presse commencent à se diversifier : création de contact directs avec les médias, sous la forme notamment de « petits déjeuners de presse » mais aussi indirects par la diffusion des communiqués de presse.

Pour faire face au développement rapide des médias sociaux, il lance, en 2013, la salle de presse virtuelle qui facilite l’accès des journalistes aux résultats des travaux des chercheurs et chercheuses de l'Inserm. Ces informations sont diffusées en français et en anglais par le biais de communiqués de dossiers, et de conférences de presse. Cette salle de presse est en moyenne consultée en France comme à l’étranger, ce qui permet d’accroître la notoriété internationale de l’Inserm. Hors médias sociaux, on recensait 17 000 retombées mentionnant l’Inserm dans la presse en 2021. Cette couverture correspond à un impact éditorial de 4 350 millions de contacts touchés, ce qui signifie que chaque Français de plus de quinze ans a été exposé en moyenne 80 fois à l’Inserm durant l’année.

Enfin, le Service Presse et réputation est aussi actif sur les réseaux sociaux notamment grâce à des comptes Facebook, Instagram et Twitter.