Quand les chercheurs en épidémiologie s'intéressent au Web 2.0
Résumé
A l’heure du web 2,0 et du Quantified Self », les chercheurs travaillent pour renouveler les méthodes de l’épidémiologie traditionnelle (interviews, entretiens téléphoniques ou questionnaires papier), coûteuses et contraignantes pour les participants aux cohortes. Il semble en effet nécessaire d’adapter les outils de recrutement, de suivi et de collecte de données aux habitudes des nouvelles générations. Internet et les smartphones offrent de nombreuses possibilités pour collecter des données sur le mode de vie, l’environnement et la santé des participants, d’une façon peu contraignante et ludique. L’équipe Inserm dirigée par Françoise Clavel-Chapelon (Unité 1018, équipe 9 « Nutrition, hormones et santé des femmes) a organisée en mai dernier à la Cité Universitaire de Paris le colloque international e- tools and social networks for epidemiology, dont l’objectif était de présenter les recherches académiques et les innovations industrielles reposant sur les TIC (Technologies et de l’information et de la communication) ayant n intérêt pour la recherche épidémiologique.
Pour citer ce document
Bureau de presse INSERM. Quand les chercheurs en épidémiologie s'intéressent au Web 2.0 . Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 12 juin, 2013, 6 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessous