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dc.contributor.authorBureau de presse INSERM
dc.contributor.editorInsermfr
dc.date.accessioned2023-08-04T16:02:14Z
dc.date.available2023-08-04T16:02:14Z
dc.date.issued2010fr
dc.identifier.citationBureau de presse INSERM. L’addiction, une perte de plasticité du cerveau ?. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 24 juin 2010, 2 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessousfr
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/13671
dc.descriptionPourquoi seuls certains usagers de drogue deviennent-ils toxicomanes ? Telle est la question que se posent, les équipes de Pier Vincenzo Piazza et d’Olivier Manzoni, du Neurocentre Magendie de Bordeaux (Unité Inserm 862). Ces chercheurs viennent de découvrir que la transition vers l’addiction résulterait d’un défaut persistant de plasticité synaptique dans une structure cérébrale clé. Il s’agit de la première démonstration qu’il existe une corrélation entre la plasticité synaptique et la transition vers l’addiction. Remettant en question les conceptions répandues jusqu’alors, qui proposent que l’addiction résulte de modifications cérébrales pathologiques se développant progressivement avec l’usage de drogue, les résultats des équipes du Neurocentre Magendie montrent que l’addiction proviendrait plutôt d’une forme d’anaplasticité, c’est-à-dire une incapacité des personnes dépendantes à contrecarrer les modifications pathologiques provoquées par la drogue chez tous les usagers.fr
dc.language.isofrfr
dc.publisherInsermfr
dc.relation.ispartofCommuniqués de Presse INSERMfr
dc.rightsDocument en accès libre – https://www.ipubli.inserm.fr/mentions
dc.sourceCommuniqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 24 juin 2010, 2 p ; numérisé sous le format PDF.fr
dc.titleL’addiction, une perte de plasticité du cerveau ?fr
dc.typeArchivesfr


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