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dc.contributor.authorBureau de presse INSERM
dc.contributor.editorInsermfr
dc.date.accessioned2023-08-04T15:46:43Z
dc.date.available2023-08-04T15:46:43Z
dc.date.issued2008fr
dc.identifier.citationBureau de presse INSERM. La fin du « Citius » : l’évolution des records du monde annonce les limites de la progression physiologique humaine. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 6 février, 2008, 2 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessousfr
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/13420
dc.descriptionAussi surprenant que cela puisse paraître, les records du monde, au delà de leur signification à l’échelle de l’histoire du sport, sont aussi sources de controverse scientifique en ce qu’ils génèrent les indicateurs des limites physiologiques humaines. L’équipe de l’IRMES, Institut de Recherche bioMédicale et d’Epidémiologie du Sport, dont l’Inserm est partenaire* vient d’analyser l’ensemble des 3263 records du monde homologués des 5 disciplines olympiques quantifiées (athlétisme, natation, cyclisme, patinage de vitesse, haltérophilie) établis entre 1896, année des premiers Jeux olympiques de l’ère moderne, et aujourd’hui. Ils concluent qu’en 2027 la moitié des records du monde ne sera plus améliorable de façon significative.fr
dc.language.isofrfr
dc.publisherInsermfr
dc.relation.ispartofCommuniqués de Presse INSERMfr
dc.rightsDocument en accès libre – https://www.ipubli.inserm.fr/mentions
dc.sourceCommuniqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 6 février, 2008, 2 p ; numérisé sous le format PDF.fr
dc.titleLa fin du « Citius » : l’évolution des records du monde annonce les limites de la progression physiologique humainefr
dc.typeArchivesfr
dc.contributor.affiliationUnité Inserm 872 Centre des Cordeliers IRMES – Paris


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