Dormir ou conduire : il faut choisir
Résumé
Les situations de somnolence sont-elles perçues par les conducteurs ? Une étude réalisée auprès des 20 000 volontaires de la cohorte GAZEL par Emmanuel Lagarde et Hermann Nabi (Unité Inserm 687) suggère que la plupart d’entre nous tentons de lutter contre le sommeil au volant….En vain. Le risque d’accidents qui en découle vient d’être estimé pour la première fois par ces travaux. Voilà qui devrait nous inciter à nous arrêter dès que nous percevons les premiers signes de somnolence.
Pour citer ce document
Bureau de presse INSERM. Dormir ou conduire : il faut choisir. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 22 juin 2006, 2006, 2 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessous