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dc.contributor.authorBureau de presse INSERM
dc.contributor.editorInsermfr
dc.date.accessioned2023-05-26T08:47:14Z
dc.date.available2023-05-26T08:47:14Z
dc.date.issued2005fr
dc.identifier.citationBureau de presse INSERM. Un lien maternel perturbé accroît la dépendance aux opiacés. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 03 mai, 2005, 3 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessousfr
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/13142
dc.descriptionRésultat de recherchefr
dc.descriptionSanté publiquefr
dc.descriptionChez l’homme, comme chez l’animal, les liens qui unissent la mère à son nouveau-né revêtent une importance fondamentale dans le développement harmonieux de la progéniture. C’est pourquoi depuis les années 60 les neurobiologistes étudient les conséquences des perturbations de l’environnement néonatal sur des modèles murins. Une étude de l’unité Inserm 513 « Neurobiologie et psychiatrie » dirigée par Bruno Giros vient de montrer qu’une séparation du nouveau-né avec sa mère modifiait son fonctionnement cérébral à long terme et augmentait fortement son risque de dépendance aux opiacés de type héroïne ou morphine.fr
dc.language.isofrfr
dc.publisherInsermfr
dc.relation.ispartofCommuniqués de Presse INSERMfr
dc.rightsDocument en accès libre - http://www.ipubli.inserm.fr/mentions
dc.sourceCommuniqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 03 mai, 2005, 3 p ; numérisé sous le format PDF.fr
dc.titleUn lien maternel perturbé accroît la dépendance aux opiacésfr
dc.typeArchivesfr
dc.contributor.affiliationLaboratoire de neurobiologie et psychiatrie Inserm U513


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