Mieux prescrire les anticoagulants grâce au génotype des patients
Résumé
Résultat de recherche La réponse aux médicaments est très variable d’un individu à l’autre, à la fois en termes d’efficacité et d’effets secondaires. C’est le cas de la prescription d’anticoagulants oraux du type anti-vitamine K, sujette à de nombreux accidents. Les travaux de l’unité Inserm 490 dirigée par Philippe Beaune et publiés dans Blood viennent de montrer que deux polymorphismes génétiques des patients suffisent à expliquer 50% des variabilités dans la réponse. Grâce à des tests ADN simples, on peut espérer adapter au mieux la prescription de ces anticoagulants et les rendre plus sûrs.
Pour citer ce document
Bureau de presse INSERM. Mieux prescrire les anticoagulants grâce au génotype des patients. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 07 avril, 2005, 6 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessous