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dc.contributor.authorBureau de presse INSERM
dc.contributor.editorInsermfr
dc.date.accessioned2023-03-17T14:56:24Z
dc.date.available2023-03-17T14:56:24Z
dc.date.issued2000fr
dc.identifier.citationBureau de presse INSERM. CONTRACEPTION ET IVG EN FRANCE Beaucoup reste à faire. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 3 octobre, 2000, 2p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessousfr
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/12804
dc.descriptionRésultat de recherchefr
dc.descriptionOn enregistre aujourd’hui environ 220 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) par an. En moyenne, chaque femme en France serait confrontée au cours de sa vie à une grossesse non prévue et une sur deux à une IVG, selon l’Ined. Pourquoi tant d’échecs alors que la contraception est largement accessible aux femmes ? Quels sont les motifs qui conduisent les femmes à avoir une IVG ? Et dans quelles conditions accèdent-elles au système de santé ? L’enquête GINE (grossesses interrompues, non prévues ou évitées) s’est donnée pour objectif de répondre à ces questions.fr
dc.language.isofrfr
dc.publisherInsermfr
dc.relation.ispartofCommuniqués de Presse INSERMfr
dc.rightsDocument en accès libre - https://www.ipubli.inserm.fr/mentions
dc.sourceCommuniqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 3 octobre, 2000, 2 p ; numérisé sous le format PDF.fr
dc.titleCONTRACEPTION ET IVG EN FRANCE Beaucoup reste à fairefr
dc.typeArchivesfr
dc.contributor.affiliationUnité Inserm 292 “ recherches en santé publique – reproduction – sexualité ” Hôpital de Bicêtre


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