MS 2019 num. 05
http://hdl.handle.net/10608/10330
2024-03-28T21:44:03ZChroniques génomiques - Extension du domaine du codage : l’ADN
hachimoji
http://hdl.handle.net/10608/10406
Chroniques génomiques - Extension du domaine du codage : l’ADN
hachimoji
Jordan, Bertrand
The synthesis of four new nucleotide analogues that can form hydrogen bonds within the DNA double helix and can be incorporated without distortion of the structure extends the possibilities of synthetic biology. Although functional use of these analogues remains in the future, they already have interesting applications and represent an important step forward.
2019-01-01T00:00:00ZDes souris, des rats et des hommes : En quoi les modèles rongeurs restent indispensables pour la
production de connaissances
http://hdl.handle.net/10608/10405
Des souris, des rats et des hommes : En quoi les modèles rongeurs restent indispensables pour la
production de connaissances
Hardin-Pouzet, Hélène; Morosan, Serban
La recherche biomédicale est considérée par nos sociétés comme une nécessité et
les réflexions sur les moyens à mettre en œuvre pour la développer s’accordent
sur le constat que : « à défaut de pouvoir expérimenter sur l’homme,
l’expérimentation animale est indispensable » [1]. Celle-ci, pour être légitime, doit respecter la fameuse règle
des 3R (Raffiner, Remplacer, Réduire) énoncée dès 1959 par Russell et Burch
[2]. En effet, bien que permettant
certaines approches moléculaires, expérimentales ou modélisées, les méthodes
alternatives conservent un caractère réducteur et ne permettent pas
d’appréhender l’ensemble d’un organisme au sein de son environnement. À ce jour,
il reste donc encore indispensable d’utiliser des modèles animaux pour générer
des connaissances valides en recherche fondamentale et appliquée. La recherche
fait ainsi appel à une grande variété d’organismes-modèles, parmi lesquels les
rongeurs (rats et souris) sont les plus utilisés : en France, en 2016, 59,6 %
des animaux utilisés pour la recherche étaient des souris et 8,9 % étaient des
rats [3]. Le propos de cet article est de
montrer en quoi les rongeurs sont des modèles expérimentaux importants et de
donner quelques exemples des connaissances nouvelles qu’ils ont apportés.
2019-01-01T00:00:00ZLes organoïdes rénaux
http://hdl.handle.net/10608/10404
Les organoïdes rénaux
Steichen, Clara; Giraud, Sébastien; Hauet, Thierry
Les organoïdes rénaux dérivés de cellules souches pluripotentes sont devenus une
réelle alternative à l’utilisation de modèles in vitro limités
ou de modèles animaux contraignants et d’utilisation sensible. La compréhension
des mécanismes clés de développement du rein a permis d’établir des protocoles
permettant, à partir de cellules souches pluripotentes, d’obtenir de tels
organoïdes, qui sont constitués de structures hautement complexes et organisées,
contenant plusieurs types cellulaires. Ces organes miniatures permettent des
applications majeures : la possibilité de contrôler le génome des iPSC
(induced pluripotent stem cell), par sélection de patients
atteints de pathologies spécifiques ou par édition de génome, permet d’obtenir
in vitro des organoïdes rénaux qui intègrent des mécanismes
physiopathologiques, comme le développement de kystes observé dans la
polykystose rénale. Ces organoïdes peuvent également être utilisés pour des
applications « haut-débit » afin d’accélérer la mise au point de tests de
molécules néphrotoxiques ou de composés thérapeutiques. Enfin, les organoïdes
rénaux présentent un intérêt majeur dans un contexte de réparation tissulaire,
une application qui reste limitée actuellement et pour laquelle de nombreuses
barrières restent à franchir.; This review focus on kidney organoids derived from pluripotent stem cells, which
become a real alternative to the use of in vitro cellular
models or in vivo animals models. The comprehension of the key
steps involved during kidney embryonic development led to the establishment of
protocols enabling the differentiation of pluripotent stem cells into kidney
organoids that are highly complex and organized structures, composed of various
renal cell types. These mini-organs are endowed with major applications: the
possibility to control iPSC genome (by selecting patients with specific disease
or by genome editing) allows the generation of kidney organoïds which
recapitulate important physiopathological mechanisms such as cyste formation in
renal polycystic disease. Kidney organoids can also be used in high-throughput
screening to fasten the screening of nephrotoxic/therapeutic compounds. Finally,
kidney organoids have a huge interest in the context of tissue repair, which
remains for now a challenging goal linked with technological barriers that need
still to be overcome.
2019-01-01T00:00:00ZLes organoïdes : des mini-organes au service de la
biomédecine
http://hdl.handle.net/10608/10403
Les organoïdes : des mini-organes au service de la
biomédecine
Galzi, Jean-Luc; Jouault, Thierry; Amédée, Joëlle
2019-01-01T00:00:00Z