MS 2019 num. 02
http://hdl.handle.net/10608/10327
2024-03-28T20:49:36ZChroniques génomiques - Le monde caché des clones mutants dans les tissus
normaux
http://hdl.handle.net/10608/10602
Chroniques génomiques - Le monde caché des clones mutants dans les tissus
normaux
Jordan, Bertrand
Careful sequencing studies on small samples of normal oesophageal epithelium reveal the presence of very abundant cellular clones harbouring mutations in known cancer genes (and elsewhere). The number and size of these clones increases with age. This surprising finding confirms previous studies on sun-exposed epidermis. It has important implications for the understanding of cancer initiation and will hopefully lead to conceptual and clinical advances.
2019-01-01T00:00:00ZL’éradication des maladies infectieuses virales mise en
danger par les avancées de la biologie synthétique
http://hdl.handle.net/10608/10601
L’éradication des maladies infectieuses virales mise en
danger par les avancées de la biologie synthétique
Tournier, Jean-Nicolas
L’éradication des maladies infectieuses est un des vieux rêves de l’humanité, qui ne s’est pour l’instant matérialisé qu’une seule fois dans l’histoire avec la variole en 1980. Des efforts très importants sont consentis contre les virus de la poliomyélite depuis 1988, mais l’objectif final n’est pas encore atteint. Paradoxalement, alors que le but d’éradiquer ces deux maladies virales est presque atteint, la biologie de synthèse multiplie les prouesses permettant la néosynthèse de virus, mettant ainsi en péril, au moins virtuellement, la pérennité de ces avancées. Cet article met en regard les potentialités de cette nouvelle biologie et la difficile réalité de la lutte contre les infections.; The eradication of infectious diseases is one of the oldest dreams of mankind. It has been materialized only once in History with smallpox in 1980. Considerable efforts are being developed against poliomyelitis viruses since 1988, but the ultimate goal of eradication is not yet achieved. Paradoxically, while the objective of having eradicated these two viral diseases is approaching, synthetic biology multiplies the prowesses of virus “neosynthesis”, imperiling at least virtually the durability of these advances. This article emphasizes the potential of a new biology on one side, and the difficult reality of the fight against infections on the other.
2019-01-01T00:00:00ZDes lasers au service de
l’ophtalmologie
http://hdl.handle.net/10608/10600
Des lasers au service de
l’ophtalmologie
Baudouin, Christophe
Le prix Nobel de Physique 2018 a été décerné conjointement à l’Américain Arthur
Ashkin (Bell Laboratories, Lucent
Technologies) pour ses travaux sur les pinces optiques, au Français
Gérard Mourou (professeur émérite de l’École polytechnique) et à son élève, la
Canadienne Donna Strickland (université de Waterloo, Ontario), pour leurs
travaux sur les impulsions lasers ultracourtes. Cet article concerne
l’application de la découverte des impulsions lasers ultracourtes par deux des
trois lauréats, Gérard Mourou et Donna Strickland.
2019-01-01T00:00:00ZTrois chercheurs, dont un Français, récompensés pour
leurs travaux sur les lasers
http://hdl.handle.net/10608/10599
Trois chercheurs, dont un Français, récompensés pour
leurs travaux sur les lasers
Mordon, Serge R.
Six ans après le physicien Serge Haroche, un autre Français, qui détient aussi la nationalité américaine, reçoit le prix Nobel de physique. Gérard Mourou, né en 1944 à Albertville (France), est professeur émérite à l’École polytechnique (Palaiseau, France) et ancien professeur à l’université du Michigan (Ann Arbor, États-Unis). Il partage la moitié du prix Nobel avec Donna Strickland, de l’université de Waterloo (Ontario, Canada). Née en 1959 à Guelph, au Canada, elle était alors étudiante à l’époque de ces travaux portant sur les lasers. Elle est la troisième femme seulement à être récompensée en physique, après Marie Curie en 1903 et Maria Goeppert-Mayer en 1963. L’autre moitié de cette récompense prestigieuse revient à l’Américain Arthur Ashkin, 96 ans, de l’université Cornell (Ithaca, État de New York, États-Unis). Arthur Ashkin est désormais la personne la plus âgée à voir été lauréat d’un prix Nobel, toutes catégories confondues. Ces trois chercheurs ont un point commun : ils manipulent la lumière et leurs recherches ont abouti à de nouvelles utilisations des lasers en médecine.
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