MS 2012 num. 12http://hdl.handle.net/10608/77272024-03-28T15:32:35Z2024-03-28T15:32:35ZPenser la biologie dans un cadre phylogénétique : L’exemple de l’évolution des vertébrésCasane, DidierLaurenti, Patrickhttp://hdl.handle.net/10608/80082021-05-26T07:00:09Z2012-01-01T00:00:00ZPenser la biologie dans un cadre phylogénétique : L’exemple de l’évolution des vertébrés
Casane, Didier; Laurenti, Patrick
La reconstruction des relations de parenté est devenue depuis quelques dizaines d’années un puissant outil d’analyse en biologie. Notre expérience d’enseignant-chercheur nous a appris, qu’au-delà des difficultés réelles qui existent pour bien comprendre les outils informatiques utilisés, peu familiers à la plupart des biologistes, le problème récurrent le plus grave est la mauvaise compréhension de la méthode de lecture des arbres phylogénétiques. Nous avons identifié quelques erreurs courantes qui révèlent la persistance du concept d’échelle des êtres qui, consciemment ou inconsciemment, guide encore trop souvent l’interprétation des phylogénies.; In the last decades, the reconstruction of phylogenetic relationships and their representation in the form of a phylogenetic tree have become a powerful tool for biology. These methods involve the use of sophisticated computer programs that are unfamiliar to most of biologists. However, our experience as teacher and researcher in evolutionary biology prompted us to realize that the main and most common source of confusion in depicting the evolution of various traits comes from the misunderstanding of the basis of tree reading. We have identified, not only in the work of our students, but also in scientific literature, some common mistakes that reveal the persistency of the concept of the scale of beings that unfortunately maintained as frame of reference to analyse phylogenies.
2012-01-01T00:00:00ZLes récepteurs couplés aux protéines G : Prix Nobel de chimie 2012 Robert J. Lefkowitz et Brian KobilkaBockaert, Joëlhttp://hdl.handle.net/10608/80102021-05-26T06:59:37Z2012-01-01T00:00:00ZLes récepteurs couplés aux protéines G : Prix Nobel de chimie 2012 Robert J. Lefkowitz et Brian Kobilka
Bockaert, Joël
Le prix Nobel de chimie 2012 vient d’être décerné aux Américains Robert J. Lefkowitz et Brian Kobilka pour leurs travaux sur les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG). Ces récepteurs, dont les gènes représentent 3 % du génome humain, dérivent tous d’un ou de deux ancêtres communs, et activent un petit nombre de protéines G. Ils assurent la reconnaissance de messages environnementaux aussi différents que la lumière, les odeurs, les molécules du goût, ou intercellulaires comme les hormones ou neurotransmetteurs. Ils sont la cible de 30 à 40 % des médicaments. Robert J. Lefkowitz a été, depuis 40 ans, un des leaders du domaine forgeant quelques concepts majeurs. Brian Kobilka a réussi à cristalliser le récepteur β2-adrénergique en 2007, ouvrant la voie à une série de travaux résolvant une cinquantaine de structures cristallographiques de RCPG sous une forme inactive ou active.; The 2012 Nobel Prize for chemistry has been won by Robert J. Lefkowitz and Brian Kobilka for their work on G protein-coupled receptors (GPCRs). Those receptors (3% of human genome) evolutionary are derived from one 1 or 2 ancestors and are able to recognize external message as different as light, odorants, gustative molecules and intercellular messages such as hormones and neurotransmitters. They are targets of 30-40% of therapeutic drugs. Robert J. Lefkowitz has been one of the leaders of the field from more than 40 years and has built several key concepts of the domain. Brian Kobilka was successful, in 2007, in producing a crystal structure of the β2-adrenergic receptor. This paved the way for the production of a series of almost 50 GPCR crystal structures both in inactive and active forms.
2012-01-01T00:00:00ZChroniques génomiques : Néandertal et Homo sapiens : To meet, or not to meet?Jordan, Bertrandhttp://hdl.handle.net/10608/80092021-05-26T06:59:37Z2012-01-01T00:00:00ZChroniques génomiques : Néandertal et Homo sapiens : To meet, or not to meet?
Jordan, Bertrand
2012-01-01T00:00:00ZL’hétérogénéité intratumorale : Un obstacle darwinien à la médecine personnalisée ? (1)Billaud, Marchttp://hdl.handle.net/10608/80072021-05-26T06:45:24Z2012-01-01T00:00:00ZL’hétérogénéité intratumorale : Un obstacle darwinien à la médecine personnalisée ? (1)
Billaud, Marc
2012-01-01T00:00:00Z