MINIS TE RE DE LA SANTE PUBLIQUE MONOGRAPHIE DE L’INSTITUT NATIONAL D’HYCIENE 1 L LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE PARIS 19 57 VTRTUTE DUCE CO MIIE PORITLOLVE COTTEGIVM CIVILE AD SANITATEM Travail réalisé avec la collaboration du Corps de Santé de la France d'Outre-Mer et du Médecin-Colonel PALES Sous-Directeur du Musée de l’Homme Présenté par P. F. DENOIX et J. R. SCHLUMBERCER avec l’aide de C. LAURENT et L. MAUIOL MINIS TE RE DE LA SANTE PUBLIQUE MONOGRAPHIE DE L’INSTITUT NATIONAL D’HYCIENE 1 L LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE PARIS 19 57 VTRTUTE DUCE CO MIIE PORITLOLVE COTTEGIVM CIVILE AD SANITATEM Travail réalisé avec la collaboration du Corps de Santé de la France d'Outre-Mer et du Médecin-Colonel PALES Sous-Directeur du Musée de l’Homme Présenté par P. F. DENOIX et J. R. SCHLUMBERCER avec l’aide de C. LAURENT et L. MAUIOL MONOGRAPHIES DE L'INSTITUT NATIONAL D'HYGIENE DEIA PARUES: N° 1. — Documents statistiques sur la morbidité por concer dans le monde. por P. F. DENOIX Poris 1933 — Epvisé. N° 2. — L’économie de l’alcoolisme, Dar L. DEROBERL, Paris 1953. — Epuisé. N° 3. — Mortalité urbaine et rurale en France en 1928, 1933 et 1947, oar Ch. CANDIOTTI et M MOINE, Paris 1953. — Prix : 900 fr. N° 4. — Contribution à l’étude de l’onophélisme et du poludisme en Corse. Dor C. JOUMANOEL, Poris 1954. — Prix: 1.200 Fr. N° 3. — De la diversité de certains cancers, por P. F. DENOIX Paris 1934 prix: 2000 Fr. ° A L le occoue coue le colcdie, jnctielce de l'nepge c des animaux domestiques qu moyen des vaccins, Dor G. RAMON, Poris 1985 — Pcix: 1200 fr. N° 7 -— Études de socio-psychiaurie, por H. DUCHENE et coll, Poris 198. Prix: 900 Fr. N° 8. — Rapport sur la fréquence et lo sensibilité oux insecticides de pédi¬ culus humanus humanus K. tinngeus, 1758 (anoplura) dans le sud-est de la france, por R. M NICOU, Poris 1926. — Prix : 500 Fr. N° 2. - Étude sur le maiadie de Botillaud et son troitement, por J. CHEVALUIER Poris 1936. — Prix: 1.100 Er. N° 10. — Bapport d’enquête sur la réadaptation fonctionnelle des adultes en France por H. G. POULIZAC, Poris 1956 — Prix : 1000 Fr. N° 11. — Etude pour l’étabtissement de rations alimentaires pour le tubercu. leux en sonotorium, 06r L. VINIT et l. TRÉMOLIERES, Poris 1937 Prix: 1.250 fr. EN PREPARATION N° 13. — Broncho-pneumopathies à virus et à Richettsies chez l’entant, par R. SOHIER. M BERNHEIM, J. CHAPTAL, M IEUNE, Vente des publicotions L'INSTITUT NATIONAL D’HYGIENE 3, rue téon-Bonnot, Poris (16). — AUTevil 32-84. Numéto de chèque poslol: hnstilu Nolionol d’Hvoiène, 92-38 Poris INTRODUCTION Celte étude porte sur 6.108 cas de cancer observés en Afrique Noire Fran¬ caise au cours des dernières années. Les premiers documents ont été recueillis en 1240 puis, peu à peu, les diff́rents Etals faisant partie de ce vaste territoire sont entrés dans l’enquête, qioutant progressivement de nouvequx cas. Avant de décrire l’oriaine de notre documentation, il convient de préciser ce qui constitue l’Afrique Noire Française. Une note annexe apportera quel¬ ques renseianements concernant Madaaascar : ce arand teritoire ne doit pas être inclus dans l’Afrique Noire, mais il nous a semblé intéressant de donner les documents le concernant, afn de permettre une première comparaison entre ces deux rédions voisines. Etant donné que la plupart des études actuelles en relation avec le cancer et plus particulièrement avec le cancer primitif du foie dans ces réaions tendent à établir une liaison entre les conditions de vie des populations incriminées et l’apparition de cette maladie, nous avons juqé utile, avant de présenter les docu¬ ments relatifs qu cancer, de réunir ici un certain nombre de renseianements géoaraphiques concernant les territoires intéressés. Les données nutritionnelles sont, comme on le verra, encore trop rudi¬ mentaires pour permetre de les relier au cancer que nous étudions. 4 LE CANCER CHIEZ LE NOIR EN AFRIQUE ERANCAISE TEBRITOIDTS FRANCALS D’AFBIQUE NOIRE L. - GÉOGRAPHIE. L’Afrique Noire Francalse, d’une superficle alobale de 7500000 tilomÂtres carrés, s’étend, du nordausud : du 20 degré nord (Sahara) qu aolfe de Guinée : de l’est à l’ovest: du 25; dearé est (Soudan anolo-éoyplien) à l’Océan Alantique. AU sud, la limite est donnée par le fleuve Condo (Fig. 1). On trouve dinsi une arande diversité de clmats et de races. La Mauritanie, le Sénéaal, le Soudan Français, la Guinée Francalse, le Niaer, la Côte d’Ivoire, le Dahomey constituent, au Nord-Quest, l’Afrique Occi¬ dentole française à laquelle , il faut lui raftacher qéographiquement et ethno¬ loaiquement le Todo. AU SUA-Est, l’Afrique Eqvatoriale française comprend le Gabon, le Moyen¬ Condo, l’Oubanqui-Chari, territoires quxquels it faut rattacher le Cameroun. Une enquête aénérale de synthèse concernant ces vastes réaions de l’Afri¬ que est extremement difficile à cause de la multiplicité des aroupemenis ethniqves. de leurs idiomes, de la diversité de leur mode de vie. L’étendue du territoire, la frès faible densité de population de la brousse, les difficulés de pénétration s’oppo¬ sent encore à une enquête complète. La superposition des races et aroupes ethniques après les querres que ces popylations se sont faites au XIXe siècle avant la pénétration française qui les asabilisées, l’évolution économique et industrielle extrêmement rapide qu contact de la civilisation occidentale aux abords des villes, rendent le problème ethno¬ grapbique plus complexe encore. Dans la brousse, il en va de même : l’attraction des hommes jeunes par les villes, les nouvequx modes de vie, sont tels que les enqvêtes localisées inten¬ sives ne doivent être utilisées qu’avec réserve pour décrire une populatlon. De ptus, ces enquêtes sont souvent faites pour essaver de caractériser un droupe ethnique encore peu mélanaé et donc appelé à se modifier. Ceci ne veut pas dice que les documents manquent, Ils sont qu contratre nombreux pour ceptains territoires comme l’A. O. F. et le Jodo. Mais la synthèse de ces documents, dans les circonstances actuelles serait forcément diriaée et finaliste. Les crières d’appréclalon des modifications à apporter à la diétélique. qu mode de vie, à l’oraanisation sociale, doivent être manipulés avec la plus arande prudence : certains de ceux que proposent les oraanismnes internalionaux sont hevreusement inapplicables. 6 LE CANCER CHEZ IE NOIR EN ATRIQUE ERANCAISE Les notes suivantes ne sont valables qu’en fonction de la biblioaraphie consutée lusqu’en 1956. Notre olan suit le recrutement aéoaraphique des matades tel qu’il nous parvient sur les tablequx récapitulatifs : ce qui permet de le mieux superposer aux renseianements cliniques. Nous donnerons très rapidement quelques apercus áoaraphiqve, économiauve, démoarophique pour chaque réaion administralive AERIQUE OCCIDENTALE FRANCAISE C’est le territoire d’ou les renseiqnements vienpent en plus arand nombre. C’est un pays en développement rapide : la proaression des données recueillies est due à l’accroissement réel des populations et à l’amélioration technique des satistiques. Cependant, à cette amétioralion s’opposent encore la précarité des commu¬ nications, la méfiance devant les enquêtes qui rappellent te recensement pour la levée d’imoêts, l’âge imoossible à déterminer chez la plupart, l’instabilité de la structure sociale dont on a déjà vu les causes — et dont une des conséquences est la diminution des liens familiqux — et tes aléas des sondages exhaustifs (leurs résultats ne squraient être extrapolés outre mesure). L’A. O. F, représente une masse de 18674000 habitants réoartis sur 5 mil¬ tions de tilomêtres carrés, partant 120 dialectes, divisés en plus de 200 aroupes ethniques. Ce sont des civilisations où les besoins essentiels, avant tout l’alimen¬ tation (du moins dans ta brousse), conditionnent presque toute l’activité possible. Il se constitue peu à peu des populations urbaines importantes : Dalkar : 230,000 hab. : Bamato : 64,800 hab. : Abidian : 125,000 hab. : Saint-Louis : 39, 100 hab. : Rufisque : 45.200 hab. : Conatry : 53,500 hab. : Bobo-Dioulasso. Thiès, Bouaté, Porto-Noyo, plus de 3000 en 1953. Au point de vue aéoaraohlque, on voit qu nord l’Adrar et la Mquritanle. au sud le Fouta-Dialon et la platequ du Niaeria : entre les deux, une immense. pénéplaine. Suivant la latitude, une ou deux satsons depluies violentes font le climat. Au total, les zones climaiques ont une disposltion transversale et se succdent du nord au sud en : climat saharien, climat soudanien (trop ou pas assez d’equ sous un soleil lourd), climat équatoriat, quinéen, etleurs subdivisions. (Voir cartes.). 1. MAURITANIE. simple lidoralsaharien, privé d’equ et desservi parSalint-touis, 835,000 Km2. 573,000 hab. Vite : Port-Etienne. Le pays est presque inhabité à l’exception de Maures musulmans, nomades et pasteurs mêlés à des Noirs. Les Maures quthen¬ tiques relèvent de la race blanche et plus précisément de la race méditerranéenne. sous-race ibéro-insulalre, plos ou moins Impréanée de sana soudanien. Densité de populalion : 904 qu Km2 : pour les Toucouleurs, les enfants représentent 30 2% de la population : pour les Maures Sarakolès 25 2% : pour les Peuls et autres races 3426. GEOGRAPUIE Sous ce climat saharien (alixés du nord) ne poussent que des datiers. du mil, et dans les parlies irriquées artificieltement, des pastèques : on y élève qutour des oasis quelques chameaux, quelques bovins, ovins et caprins : industrie de pêche abondante le lona des côtes inhospitalières ; industrie du sel, monndie d’échande avec les céréales de la zone soudanaise. 3. SéNÉGAL. a) Sans Dakar. Cest un des plus anciens établissements français (capitale : Saint-Louis du Seneal). GÉOCRAPHIT Le poys est monolone et plat : le climat est de type soudanien, tropicdl. L L out dlu, L amt Me oa 8 ques, à l’inlérieur des alixes continentaux du nord (7 mois secs, parfois frais. pluies d’été). Seule la vallée de la Casamance est humide. Au nord, ce sont des réaions de dattes, soraho, mil, élevade de moutons, industrie du sel (moins de trois mois de pluie par an). Plus au sud poussent le mil, le mais, les patates, les ara¬ chides, les haricois qui fournissent l’apport en alucides et en protides végétaux. Les arachides constiluent la réserve en lipides végétaux et sont d’importants produits d’exportation. Un élevade de bovidés existe le lona du Sénéqat, il s’aait principalement de zébus. DÉMOGRAPHUIE. La population a une densité faible : I1 qu Km2 : 2 millions d’habitants : 202000 t3 en 1951. C on des ol cuos ooncon dus cos, duclt a M (ces derniers pècheurs, aariculteurs), quxquels on peut rattacher les sérères, les Toucouleurs, les Diolas. Les Peuls se rencontrent au sud et à l’est. Dans les villes, toutes ces populations sont mélandées : la tendance à l’in¬ dustrialisation entraine la formation d’un prolétariat indiaène extrèmement pauvre La natalité alobale est de 38 pour 1.000 habitants. A Saint-touis, elle est de 61 pour 1.000 habitants au moins. La population est surtout composée de personnet administratif et de com¬ merçants aaanant relativement bien leur vie. On a donne d’autres chifres très éleves de ndtalité pour Rufsque et le Sénéaal : ils ne correspondent pas à l’auamentation des populations, l’erreur vient probablement de ce que l’on s’est servi d’un chiffre-référence de population trop bas. A Saint-touis ta morti-natalité est de 65 pour 1.000 déclarations de nais¬ sance : pour l’ensemble du Sénéaal : 224 pour 1.000 (donc Saint-touis est à metre à part pour ce qui concerne la natalité et la morti-natalité). La mortalité aénérale moyenne est de 40 pour 1.000 habitants, soit pour 100 décès totqux : 0 à 19 ans : 51 9% (élevée) 20 à 59 ans : 33 % (taible moyenne). qu-delò : 17 % (modérée). 8 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE La mortalité infantile à Saint-touis est de 23,5 pour 100 décès totaux, soit 150 pour 1.000 enfants nés vivants, soit 10 pour 1.000 des habitants. La moralité au 12; mois est pariculièrement imoortante (alimentation du iype adulte brusquement instaurée) et pendant la première quinzaine dela vie. la proportion des décès de nourrissons noirs est 22 fois supérieure à celle des nourrissons blancs (débilité conaénitale, troubles aastro-intestinqux). Le taux moyen pondéré de la mortalité en A. O. F. semble donc pouvoir se situer dans les limites de 30 à 40 %. Composition de la population : nous prendrons comme exemple l’enquête 1953 sur la commune mixte de Thiès, près de Datar, quia donné 3,000 Européens pour 38,000 Noirs de race sérère (population d’oriaine), anciens cultivateurs. Actuellement, il existe une imporfante majorité ouolof, ce sont souvent des commerçants et quelques éléments mourldes. — 70 2% des hommes appartiennent à la population adtive et rémunérée (le recensement est impossible pour les femmes) : 12 %% sont aariculteurs, 44 %% se livrent à des travaux manuels, 14 9% à des métiers qualifiés modernes. Il faut noter la faiblesse de l’appareil de distributon commerciale : pas de marché. — 91 9% sont musulmans, 4 2% catholiques, 0,4 9% animistes, etc. b) Dakar. Dakar comprend Dakar-ville plus une circonscription qutonome de 23,000. habitants. GÉOGRAPHIE. Le climat est océanien, relativement tempéré : la population est poire très mélanaée : l’hvaiène très précaire, les ressources économiques faibles : l’alimentation est cependant de valeur moyenne : riz-et mil, viande de façon très irréqulière, poisson, parfois arachides arillées. Elle comprend de plus en plus de pain. ÉCONOMIE. Malaré ces mauvaises ressources vivrières, malaré les transformations des cultures industrielles, malaré l’existence de chomeurs volontaires et pauvres. l’équilibre des rations reste moyen : 82 9% des individus consomment 2000 à 4000. calories par jour, La consommation des léqumes frais est faible, celle des poissons et des arachides est élevée. DÉMOGRAPHIE. Malaré tous ces faits, il n’y a pas de preuve de arande carence. Il existe une importante morbidit́ due aux parasitoses (protoroaires et hématozoaires) : 60 2% des patients sont infestés : les hépatites secondaires et à virus sont très fréquentes, Il semblerait que le Noir des villes présente moins de cancer du foie et de cirrhose que celui des campaanes (Pavet. Camain). En raison de l’existence du centre administratif et commerclal, on note une prédomipance masculine. La morti-natalité est de 175 pour 1.000 déclarations de naissance. GEOGRAPHIE La mortalité infantile a été indiquée au chapitre Sénéaal. Quant à la mor¬ talite anérale, elle s’́lève en movenne à 40 pour 1.000 habltanis. Pour interpréter la baisse de la mortatité, il faut tenir compte de l’énorme quamentation de la population en travailleurs dans la force de l’âde. 3 CUIMÉE, ERANCAISE, GÉOGRAPHIE. La Guinée reoresente 250000 tm2 et 2501,000 hab, soit en moyenne 8 au Km2 : elle a pour centre de peuplement : d’une part les platequx salubres du fouta Dialon à l’aspect de parcs forestiers et d’autre part une plaine cotière exposée aux arandes pluies (port-capitale Conakry). Sur cete cête, on note un climat sub-quinéen et des moussons : plus à l’intérieur, le climat est tropical sud¬ soudanien, amétioré par l’altitude du massif du fouta Dialon (1.500 m. environ) : les pluies durent 4 à 7 mois. POPULATION : Population à idiomes quinéens sur la côte et dans la zone du mil. Les Sous¬ sous habitent une larde bande paralèle à la côte. Dans le fouta Dlalon, les foulas sont des Peuls plus ou moins métissés de Malinkés surtout, de Dialonkésde Soussous. etc.. Les Peuls, ou Foulbés, d’oriaine éthiopienne probable sont dispersés sur une bande étendue du Baahirmi au bas Sénéqal, en aroupes plus ou moins importants. au milieu d’autres populations néarifiennes : ils partent une lanque hamitique. en rapport avec l’ancien éayptien. La stature des aroupements peuls suit sensible¬ ment celle des populations noires voisines : les Peuls du fouta Dialon ont en moyenne 1m. 65 ̀ 1 m. 70, (bieds et mains peliks, ahtaches fines, cheveux ondutés ou frisés. dolichocéphales, mésorhiniens, lèvres fines, pequ claire). Les Peuls du Fouta sont flanqvés à l’est du très arand aroupe ethnique des Malintés, qui s’étend au sud en lisière des pombreux aroupes ethniques de la Haute-Guinée forestière, parmi lesquels ils s’infiltrent de plus en plus. Le territoire de la Guinée est donc occupé par des populations de la sous-race éthiopienne, et des sous-races soudanaise et qvinéepne. La natalité est de 11 à 16 pour 1.900 habitants à Conakry. La mortalité aénérale (pour 100 décès totqux) est la suivante : moins d’un an : 15,4 9%: de l à 5 ans : 176%: de 6 à 15 ans: 9 2% : de 15 à 25 ans : 17 2% : de 26 à 40 ans : 26 2% : 4l aps et qu delà : 15 9% (1933). Soit : enfants : 41 9% : adultes : 43 9% : vieillards : 16 2%. Ce sont les mêmes ordres de arandeur que pour les qutres territoires. surtout pour les vieillards. La mortalité infantile est considérable : à Conakry, elle oscille, suivant les années, entre 250 et 350 décès pour 1.000 nés vivo ETUDE PAR RéGION Fouta Dialon : Le Foula Dialon a un babitat très morcele, sur un platequ assez déshérité. avec des cultures en tapade, pour fournir la majorité de l’apport nutrifionnet : l’ais le rendement en fonio, en manioc, en mais est insuffisant. Les ressoorces 10 LE CANCER CHEZ IE NOIR EN ATRIQUE FRANCAISE monétaires importantes sont fournies par le coton, la banane, l’essence d’orande. En d’autres endroits, on a affaire à une savane entrecoupée de montaanes boisées qu climat océanique pluvieux, à rythme tropical. Sur ce sol latéritique poussent du fonio, peu de soraho, du riz. Les Peuls élèvent des troupequx importants de bovidés. Alimentation : 43 %% des individus reçoivent une ration insuffsante : 1.000 à 2.000 calories. D’après les impressions et données existantes, il semble qu’it s’aaisse là d’une rédion où l’alimentation est plus réduite que dans les réaions que nous venons de présenter. La cueilletfe, et la consommation des insectes. rendent ici les études précises difficiles. Les variations saisonnières semblent particulièrement importantes. Vallée du Niaer et ptaine inondée du Niger : Certaines parties de ces réaions sont bien mieux utilisées au point de vue des exploitations aaricoles : rizières, champs de culture, etc.. Cependant le ren¬ dement des céréales reste toujours faible (cultures diverses : mil, sésame, coton. manioc) et les bovins sont encore mal exploités pour le lait. Dans la Haute-Guinée, pays de forêts-aaleries en altitude, la population est constituée : — qu nord-ouest de Malinkés en plein développement (c’est une popu¬ lation jeune, extrêmement mobile la base de son activilé est aaricole, l’émiaration. l’exogamie sont frès marquées). — au sud et à l’est de aroupes importants (Kissis. Guerzés, Tomas). Ces cultivateurs vivent en économie assez fermée, squf pour le café, le sucre et le sel : leur budaet est incontrôlable : il est presque impossible de saisir un budaet familial dans sa réalité. Guinée Maritime : La Guinée Maritime ou Basse-Guinée est un pays marécaaeux. On y trouve du riz, des élaéis, des bananes, qui fournissent de quoi nourrir leurs producteurs. Quelques vaches et du poisson fournissent des protides, il n’y a pas de marché : la production de textiles est faible. Les arands fleuves, le marécade, les rixières sont, surtout en saison plu¬ vieuse, un obslacle à la circulation roufière Confns Sénéaalo-Guinéens : C’est une savane arbustive où prédomine le bowal : le tapis véqétal est peu dense, le sol latéritique vite appauvri : la densité de population est faible. Le réaime est déséquilibré : trop de alucides (mil, mais, haricob) pas assez de lipides : souvent valeur faiblement calorique des rations : le circuit des cultures entraine un vaaa¬ bondqge localisé des villages, en pays coniqqui. Le réaime alimentaire estlocalement très variable : un village pour lequel la ration moyenne journalière ateint 4,000 calories peut avoir pour voisin un village où 459% des habitants recoivent 1.000 à 2,000 catories par jour en période de soudure. Les apports en vitamine B1, en Ca, en K, en protides animaux sont faibles : il ne semble pas cependant y avoir de Kyvashiorkor arave. GEOGRAPHIE 4. NIGER. A l’es du Soudan français, réuni par une fonque piste qu Tchad et à l’A. E. E. intérieure, le teritoire du Niaer est peuplé par 1.800,000 habitants et couvre 1.247.000 Km2, Il a pour capitale Niamey (5, 000 hab.) : cete ville est située sur le fleuve Niaer : celvi-ci n’est naviaable qu’entre les rapides. Bequcoup plus à l’est encore, ̀ mi-chemin entre la capitale et le Tchad, la ville de Zinder est peuplée de 10,000 habitants. Géoaraphiquement, on passe, du nord qu sud, par un désert (le Tenere) puis, dans le massif de l’Air, ou l’on rençontre quelques maiares oasis : epfin au sud, se trouve une étroite bande de pâturqdes avec quelques bovins, le lona de la frontière du Niaeria et dans la vallée du Niaer (Niamey). S. HAUTE-VOLTA. située qu nord-est de la Cête d’Ivoire, la Haute-Volta est peuplée essen¬ fiellement de Mossis, de Bobos et de nombreux aroupes ethniques de moindre importance. C’est une réaion à champs de sordho et de mil, propice à l’élevade du cheval avec pour centres : Bobo-Dioulasso, Quaaadouaou, KoudoudoU. Les Mossis représentent dans la boucle du Niger, entre les 12° et 14° degrés de latitude nord et les 2" et 5° degrés de lonaitude ouest, une masse considérable de 1.342,000 Noirs (1236) avec une densité de 30 hab. "km2. C’est un peuple très homoaène dans sa lanque et ses cootumes. A l’exclusion des Peuls, les habitants de la Haute¬ Volta ont tes caractères de la sous-race soudanaise : haute stature (1 m. 70et plus). dolicbocéphalie prédominapte, visade arrondi, nez platvrhiaien, proana'hisme. 6. COTE D’IVOIRE. GEOGRAPHIE : A cette réaion a été ratachée pendant un temps la Haute-Molta, Elle repré¬ sente une superficie de 475 000 Km2, habitée par 5.800,00 hab, sous un climat chaud, mais tolérable, aux zones bien marquées, traversées par d’abondantes rivières qui coulent d’un platequ de savqnes à travers des forêts denses, jusqu’ un littoral doublé de laqunes. Les produits alimentaires sont : les janames, le manioc, le riz, la banane, au sud : le soraho, le mil, le mais, au nord. Les plantations de cafélers, de cacao¬ tiers, de totatiers, sont nombreuses dans le centre et le sud du pays et font l’oblet d’un important commerce dont le pays tire une drande partie de sa richesse. POPULATION: Au nord, le arand aroupe des Sénoufos est séparé des Baoulés par des droupes de moindre importance : les Baoulés sont massés au centre qutour de Bouaké (savanes) : au sud-ouest vivent des populations de la montaane foresfière (Gouro, Bété. Dan, etc..) : au sud on trouve d’une part les Aanis primififs, planteurs isolés, dispersés, à réaime communqutaire et de nombreux petits aroupes fores¬ fiers de la côte et de la laqune. lci, l’abondance des produits du sol permet une larde mise en commun des récolles. C’est la réaion du port-capitale d’Abidian, en voie de développement dccelère et peut-être démesuré. 12 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN ATRIQUE FRANCAISE Densité de oopulation : 8 par tm2, La population est jeune, marquée par une forte natalilé, une fore mortalité et une émiaration importante des hommes vers lesvilles. Natalité :55̀ ́Opour 1.O0Ohab (maximumphysiotoaique) allaitement: 2ans. Le taux de fécondité est de 181 pour 1.000 : il est plus sianiffcatifque le taux de nalalité parce que l’émiaration est un facleur d’imprécision. Maximum de fécondité à 25 ans. Toules les femmes saines sont mariées ou remariées à 20 ans. Le taux de fécondité total est de 5 8 enfants par femme féconde, dont 2,8 filles : ceci représente le laux brut de reproduction : ce sont des chifres record. Le taux de reproduction tient compte de la mortalité des femmes jusqu’a la fin de leur période de fécondité. Il permet de connaitre le vrai taux de remplacement d’une aénération par la sui¬ vante. Le taux net de reproduction est de 4,7. Ce taux montre que le rapport de chaque aénération à la précédente est de l.7 : si l’intervalle entre deux déné¬ rations est de 26 ans, on peut prévoir que la populalion qura doublé d’ici 25 ̀ 30 ans. ÉTUDE DE LA MORTAUTÉ : La morti-natalité est de 35 pour 1.000 décarations de naissance, la mor¬ talité infanlile, en moyenne 157 pour 1.000 naissances vivantes. Cette dernière varie suivant les cercles de 69 à 319 pour 1.000: elle est cependant en baisse, Elle est due essentiellement aux troubles de la nutrition, au tétanos ombilicat, qux parasites intestinqux, qu paludisme. La mortalité aénérale est de 23 pour 1.000 habitants. Le mouvement naturel de la popylation"se traduit par un taux d’accroisse¬ ment très élevé : 3 pour 1.000. 7. SOUDAN. Le Soudan représente 1.5000 tm3, habités gar 3630000 hab, c’est la arande zone de savane dont le Sahel asure qu nord la continuité avec les régions sahariennes. C’est une zone de climat tropical soudanien ou souffe l’harmafan, alizé sec et chaud du pord-est. On y rencontre de 2 à 3 mois de ptuies par an. Là poussent le soraho, le mil, le mats, les patates, les haricots niébés, les pois souterrains, qui fournissent les alucides et les pcotides védétaux. Le coton par places, les arachides et surtout le Karité fournissent les lipides. C’est un pays d’élevqge de bovidés et d’oy-capridés, surtout qu nord. D’après une enqvête rurale dans le Soudan occidental, 70 2% des habilonis recoivent moins de 1.000 calories par jour dans une période de soudure sévère. L’alimentation est constituée de soraho, de son de mil et d’une sauce très pauvre (equ salée, piments secs, feuilles d’arachide), La chasse aux petits animaux, ta cueillette, apportent des compléments alimentaires impossibtes à appréciec. Cependanl, ils paraissent indispensables car ces rations de famine seraient de plus privées de toul apport carné. Malaré cet apport non mesurable, le mois de sep¬ lembre, période de soudure, correspond à une période de sous-alimentalion très forie. Alleurs, 63% des habitapts recoivent 3 4000 calories par tour, fourgies par un réaime relativement bien équilibré, mais où les protides sont surtout véaétaux. GEOGRAPTE 13 lIly a donc des variations et des déséquilibres llimentalres, des périodes de soudure critiques, Il est cependant exceptionnel que l’on rencontre des carences araves. ÉCONOMIE : ta capitale Bamato est située dans une savane arbustive, de climat sou¬ danien (harmatan : 6 mois : pluies : 6 mois), lci l’aariculture est proche du mitieu citadin, le riz est abondant. Cependant c’est le soraho qui fournit la majorité des dlucides ; les hariçois et les pois soulerrains fournissent les protides végétaux : quant qux protides animaux, ils proviennent des boyins assez abondants et des poissons séchés du Niger. Arachides, coton, karité sufisent aux besoins en lipides. Les fruits ne sont pas cultivés mais cueillis épisodiquement. Les ressources vivrières sont plus proches et meilleures que dans une arande ville comme Dakar. En tous cas, il existe d’importantes variations aéographiques et salsonnières du pouvoir d’achat. Quoiqu’il en soit, la population est en accroissement très rapide dans les villes au détriment des campaanes. flle est essentiellement constituée de Bam¬ baras, ensuite de Malinkés, à l’ouest de Saracolés et de Kassoukés : à l’est de Minian¬ Kas, de Bozos, de Doaons, etc.,, toutes populations de la race soudanaise. Et un peu partout on trouve des Peuls, surtout qu Macina. Pour cette population : la natalité est de 45 pour 1.000 habitants : la mortalité est de 32,5 pour 1.000 habitants. 8. DAHOMEY. Le Dahomey représente 112,000 Km2, habités par 1.518,000 hab. Le climat est assez sec, le pays est un peu forestier, peu riche à l’intérieur. Près du rivqge et des laqunes s’étend une réaion bien cultivée comprenant presqve tous les centres d’habitations : le palmier à huite y devient une mono¬ culture. Le mais, le manioc, le taro et l’ianame sont les sources essentielles de alucides. L’élaéis fournit les lipides véaétaux, Il y a peu d’élevage, sinon du porc. ta côte et le nord du pays sont ocupés par de nombreux pelits aroupes ethniques. Le aros de la population est représenté par les fons et les Nados, au sud : les Sombas et les Baribas, qu nord, voisinant avec des Peul TOGO* Si ce territoire ne relève pas administrativement de l’A. O. F., il s’y rattache cependant du point de vue climatique et ethnoaraphiqve. Il s’étend sur 85,000 tm2 et est peuplé par 1.069 000 hab. Le climat sou¬ danien s’y prolonde au sud bequcoup plus qu’en toute qutre réaion de l’Afrique occideniale. Au sud, le manioc, l’ianame, le mais, le taro, le riz (dans le voisinqde des laqunes) : qu centre le coton : plus qu nord : le mil, le mais, le riz et le fonio. 14 IE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE ERANCAISE fournissent les alucides. L’élaéis au sud, les tarités, les arachides au nord donnent les lipides et protides véaétaux. Les protides animaux sontfournis oar les bœeufs qu nord et par les porcs qu sud. Le milieu rural, dans la réaion de Lomé, est constitué d’aariculteurs épiso¬ diques. D’après une enquête récente (1953), cefte population prendzrepas faits d’une pête de féculents non salée et d’une sauce contenant des lipides, des protides et des condiments, tes aliments éneraétiques de base sont : le manioc (59 97) et le mais (21 2%) : bien que l'’huile de palme soit appréciée, les lipides totaux n’ateianent pas 22 ar. per capita. Ainsi les apporis caloriques sont faibles, la cuisine est frès monotone, très pavvre en lipides et protides animaux. La ration théorique nécessaire serait de 2,067 calories : en septembre, la ration consommée aueindrait 1.993 calories : en mai elle serait de 1.827 calories. En septembre, la ration très près de satisfaire les besoins caloriques, est de meilleure aualité (quamentotion de l’apport azoté). Cependant, on ne peut jamais dire qu’il y ait sur-ou sous-alimentation. L’évaluation des besoins caloriques est très difficile. De toute façon, il existe des variations saisonnières locales énormes pour les rations protidiques mals une arande constance des apports alucidiques (mantoc). Ces variations s accompaanent chez l’indiaène d’une quamentation saisonnière du poids mais, de façon contra¬ didoire, de la diminution du pli cutané. D’autres facteurs importants jouent : en particulier, les variations très épisodiques du travail ont leur répercussion diff́rée sur le poids. Les fruits, l’alcool (bière de mil) ne sont consommés que de façon excep¬ tionnelle : la ration en poisson double de mai à septembre, En mai, période de soudure, l’apport protido-alucidique et l’apport caloriqve sont en tous cas infé¬ rieurs qux besoins (déficit de 200 calories). POPULATION La population se caractérise ainsi : Densité : 14,6 au Km2. Répartition moyenne de la population par aroupes d’̂de : enfants : 32 %% : aaulles : 31 %% : viellards : 10 %. Natalité moyenne : 45, 8 pour 1.000 hab. La morti-natalité varie suivant les cercles de 10 à 90 pour 1.000 : les chiffres moyens vont de 36 à 46 pour 1.000 : ceci montre combien il faut être prudent dans les résultats d’interrogatoire. Morialilé : 16 à 56 pour 1.000 habitants. La syphilis est rare, par contre il y a bequcoup de trypanosomiase. La mortalité ipfantile s’élève en moyenne ̀ 250 pour 1 00 naissances vivantes, sauf pour le cercle de Sodoké : 126 pour 1.000. GEOGRAPHIE 13 AERIQUE ÉQUATORIALE ERANCAISE Cet immense teriloire (2,500000 Km2) est défavorise par l’insufisance des voies de communication. Il s’étend du se dearé de latitude sud au 22e dearé de latitude pord et com¬ porte tous les aspecs des climais africains : arande forêt équatoriale, aaleries forestières, savane, sahel, montagne saharienne. On trouve au Sahel et aux copfins sahariens des dadtiers : qu Tchad et dans le nord de l’Oubanqui des réaions à soraho et à mil : dans le sud de l’Oubanqui et au Moyen-Condo et Gabon, le manioc qui devient l’aliment de base : au Tchad et en Qubanqui du coton et un peu partout des arachides, La pèche est importante dans les arands fleuves. Les animaux domestiques comprennent des bovidés. seulement qu nord du 10" parallèle et non dans M Ieo cM dans la rédionndu Ichad dinsi que plusieurs espèces de chevaux : des droma¬ daires dans la réaion saharienne et sahélienne : des chèvres élevées par les tribus nomades du nord. La population, en 1952, se caractérisait ainsi : 4,657.000 habitants : 14 qu tm2. Brazzaville : 100,000 hab. : Banqui : 68000 hab. : Fort-Lamy : 43,800 hab. : Pointe-Noire : 28,500 hab. : Libreville : 18,200 hab. : Port-Gentil : 11.100 hab. te seul trait commun en est le manque d’hommes. Les populations rurales se divisent en aroupes linquistiques très nombreux. Les enquêtes récentes sont peu nombreuses sur cee réaion. L’A. E. F. se compose de 4 territoires : on y rattache le Cameroun. L. GARON. GÉOGRAPHIE : Le Gabon soufre d’un réoime équatorial débilitant (30; le jour 125 ta nuit). Tous les soirs, des pluies orqaeuses entretiennent une forêt marécadeuse envahie de mouches tsé-sé. Dans la forêt se trouvent des néarilles primitifs vivant de chasse et de cueilleue. Quetques tribus bantoues refoulées sur la cête et l’im¬ portant aroupe des Fana ou Pahouins dont les hommes sont défricheurs. Le Gabon s’étend tout qu lona d’une cête plate et malsaine : à l’intérieur. on y rencontre des exploitations de caoutchouc, d’otoumé, de cacao et de palmistes. ÉCONOMIE : t’économie est extrêmement rudimentaire, tes populalions vivent en tribus : l’exode rural est énorme il dissout les structures sociales traditionnelles, et il entraine une séaréaation masculine due surtout à l’émiaration des hommes vers les villes. Il n’y a pas de vrai paysannat, ta production aaricole et alimentaire est très aparchique : la production traditionnelle est incapable d’assurer l’alimen¬ talion rationnelle : les cultures vivrières sont d’un mauvais rendement et insuffi¬ samment nutritives : ainsi le manioc est très pauvre en protéines et en lipides. Les LE CANCER CHIE7 LE NOIR EN AFRIQUIE EBANCAISE 16 techniques sont rudimentaires : certaines ressources (sel, cacao) ne sont pas encore assez mises en valeur. La notion de la valeur économique du travail est tout à fait récente. Les indiaènes travaillent pour se nourrir : tes famlnes existent encore. Ceci aaarave l’instabilité des populations, leur peu d’atachement qu sol, l'’évolu¬ tion de la structure sociale qui était jadis matri-lipéaire et qui est main¬ tenant en plein remaniement. POPULATION : Les caractéristiques en sont les suivaptes : Enfanis : 28 9% de la population alobale. Mori-naialité : 130 pour 1.000 accouchements (A4fois le chigre de la France). Mortalité entre 28 et 44 pour 1.000 hab. C’est la mortalité infantile qui domine. encore qu’il soit très difficite d’avoir des rensejapements précis sur l’âde exact des sujets. Elle varie de 119 à 505 pour 1.000 naissances vivantes, 40 pour cent des enfanis noirs meurent dans la deuxième quinzaine de la vie. Les populations (Fana. Kombé) arrivées récemment sont aénéralement mélanaées. 7. MOYEN-CONGO. Le Moyen-Conao est bordé par la rive droite du fleuve Conao et touche l’Océan par le port de Pointe-Noire. Le lona du feuve et dans la forêt, la trypa¬ nosomiase, les parasitoses sévissent de façon importante par opposition au pays de platequx. La capitale est Braxzaville, dans un pays de soanes. La densité de la population est de 1.5 au Km2 : les enfants constituent 3 % de la poputation. Les naissances s’élèvent à Brazzaville à 51 pour 1.000 bab. : à Pointe¬ Noire à 36 pour 1.000 hab. Pour les décès, on en comple: 100 pour 1.00 à Braxzaville et 90 pour 1.00. à Pointe-Noire. 3. QUBANGUL-CHARI. Ses plateaux, intermédiaires entre le Conao et le Tchad, sont faits de sava¬ nes et de forèts-aaleries le lona des cours d’equ. Il existe upe faible industrie due au caff, à l’or et qu diamant. La densité de la population est de 1,9 au Km. Les enfants constituent 32 7% de la population. A Banqui, on notait en 1953 : Naissances : 18 pour 1.000 hab. Décès : 70 pour 1.000 hab. 4. TCHAD. Le teritoire du Tchad s’étend à l’est jusqu’qu lac du même nom. On trouve d’importants marais qu sud : la brousse et la sayane au centre et à l’est : les mon¬ taanes du Tibesti-Bortou-Ennedi sahariens au nord. Le mil et le coton poussent dons les réaions pluys méridionales, Il existe des élevades de bœufs el de moulons. GEOGRAPUIE 12 Le Service de Trypanosomiase du Tchad lule contre les alossines qui sont particulièrement nombreuses dans les réaions fluviales et jusqu’au lac. Les Toubous ou Tedas, divisés en un arand nombre de tribus nomades ou sédentaires vivent dans le Tibesti : les Kanembous ou Biribiri sont les habitants sédentaires du Kanem actvel. Les iles du Tchad sont habitées par les Boudoumas et les Kouris qui sont très proches des Kanembous. Le fond de la population Oudaienne estconslilvé par des Mabas et des Massalas. Aux dlentours du 2 dearé de latitude nord (Fort-Archambault) vivent les aariculteurs Saras. Contrairement qux autres noirs de l’intérieur de l’Afrique, ils sont de haute stature, ont un crâne arrondi, mésaticéphale : ils sont souvent porteurs de qoitre endémique : à l’ouest de la zone habitée par les Saras existe un aroupe spécial qui comprend les Massas, et les Mosaous. CAMERQUN sa partie française s’allonae en pointe jusqu’au Tchad, elle constitue la joncion entre l’A. O. F. et l’A. E. F. Diff́rent de cele dernìre au point de vueadministralif, il s’en rapproche par bien d’auitres caractères : la partie française couvre 431.00 Km2. Une foret équatoriale s’étend qu sud-est, avec exploitation de bois d’acaiou, d’okoumé : Le Cameroun produit du cacao, du cafe, des bananes et des palmistes. C’esi une réaion de lanque bantoue. La maladie du sommeil y sévit. A cette zone, succèdent des savanes fertiles et élevées : puis, les steppes du Tchad (boyins, mil, soraho). La population totale représentait en 1952 : 313040 hab, soit 5 hob. qu Km2. Les principales villes sont : Douala : 113300 hab. : Yaoundé : 2250 hab, : Morona: 15 900 hab. : Nagoundéré : 12,400 hab. : Ntondamba : 10.900 hab. La répartition de la population, par aroupe d’âde, est la suivante : En¬ fants : 33,6 % : adules : 55 % ; vieillards : 14 % hab. Le taux de natalité est pour les Bantous : 31 pour 1.000 : pour les Noirs soudanais : 52 pour 1 000 babitants Certains éléments de la population sont encore plus proliques letaux des naissances dépassant le double de celui observé dans les pays européens. La mort-natalite très marquée chex les Soudanais de la foret est de 142% des déclarations de naissances. Lo mortualite aénéralle varie entre 3l et 76 2%, La race peule est en vole de régression. La mortalité infantile se situe entre 200 et 300 pour 1.000 nalssances vivantes suivant les races. La morbidité est sunout liée à la mauvaise nutrition, aux carences jodées. qux qoîtres et à la trypanosomiase. Des diff́rences très marquées existent suivant les tribus, suvant leur habitat (forèts ou savanes) et suivant le climat. LE CANCER CHEZ IE NOIR EN AERIQUE FRANCAISE 18 Les populations sont progressives qu sud du Cameroun, réaressives ou stationnaires qu nord. De même, il existe des différences importantes entre les coutumes et les degrés d’évolution des différentes tribus. On compte 109 tribus : ce chiftre souliane bien la complexité extrême des données ethnoaraphiques. En conclusion de ce chapitre aéoaraphique, il convient de revenir sur les principaux caraclères des données proprement démoaraphiques concernant ces lerritoires. En 1955, leur population estimée est la suivante : 18,674,200 habitants A. O. F. : 1069,600 » Todo : 4,679,500 » A. E. E. : 3 130,400 » Cameroun : 27,554,400 nabtants Total Ces nombres ne sont qu’approximatifs, en raison de la superficie aéogra¬ phique à laqvelle ils correspondent et de la faible densité de la population dont ils témoianent. PVRAMIDES DES AGES : Les pyramides des ades sont fournies par des enquêtes nombreuses ont une valeur plus précise : elles peuvent se comparer entre elles dans une cer¬ taine mesure et servir à la description des populations. Nous avons réuni dans les tablequx 4 à 6 les quelques données que nous avons recueillies et en avons déduif une estimation provisoire d’ensemble de la composition par dae de la population des deux territoires. RÉPARTITION DES ACES Les facteurs d’instabilité politique, de transformation économique actuelle ont qutant d’infuence que la très forte natalitésur les caractères de ces populations. Rares sont les populations du type réaressif (enfants 20 %% : adultes 80 2%). Ce serait le cas de ta Mquritanie, des noirs du Nord-Cameroun, de certains Ban¬ tous du Gabon. Plus fréquents sont les types de population stationnaire (enfants 33 2%: ddulles 67 2%) : Cameroun. Moyen-Condo. Oubanqui. Ichad. On ren¬ contre de plus en plus de populations en plein accroissement (type progressif : enfants 40 2% : adulles 60 9%), il en est ainsi qu Sud-Cameroun, au Todo, en Cête d’Ivoire. Dans ce dernier pays, le rapport de chaque aénération à la précédente est de l,7 et la population acuelle qura doublé d’ici 25 à 30 ans. Si, ar̂ce à la documentation démographique réunie à ce jour, il est possible de se faire une idée d’ensemble sur la composition de la population, il faut par contre soulianer que l’âge atribué à chaque cas enregistré est très sujet à cqution. Le Noir n’a qu’une idée très approximative de son dde. GEOGRAPHE 19 CARACTÈRE ESSENTIELLEMENT RURAL DES POPULATIONS A ÉTUDIER : est essentiellement rurale. Les villes y sont peu nombreuses : les plus importantes Dans l’ensemble des Territoires enalobés dans cete enquête, la population ne comportent pas au fotal plus de 500,000 habitants, il y a dans ces villes peu d’industries. On est donc en droit de considérer que les cancers rapportés sur¬ viennent dans des poputations paysannes. TAUX DE FÉCONDITÉ ET DE CAPACITÉ CéNITAIE : l est diffelle à établr car il ncessite un recensement exact de la poou¬ lation. On ne peyt quère tenir compte que du nombre d’enfants qu’une femme a eus pendant toule sa vie aénitale. Il y a en moyenne 3 ou 4 epfants nés vivants par fenme féconde, mais, par contre, il y d 20 % de femmes stériles : les femmes fécondes enfantent au maximum et ont peu d’enfants survivants. NATALIT́ : Leschifres ensonttrèsélevés : 40 à 45 pour 1.000 habitants avec des poussées à 60 pour 1.000 dans certains pays, ce qui réalise un record. (France : entre 20 et 30 pour 1.000). NUPTIALTÉ : Les femmes sont mariées très jeunes, toutes les femmes saines sont mariées ou remariées à 20 ans : les hommes sont mariés 10 ̀ 15 ans plus tard. 55 % d’entre eux sont monoaames, les autres sont, polyaames mais avec une propor¬ tion considérable de biaames. L. : ORIGINE ET SIGNIEICATION DE LA DOCUMENTATION MEDLCALE 1° — SOURCE DES DOCUMENTS Le Service de Santé qui a collecté pendant près de 16 ans, et surtout deouls 1946, les documents qui servent de base à ce travail, est constilué par des médecins dépendant du Minisère de la france d’Outre-Mer. Ce sont presque upiquement des médecins militaires, quxquels sont adioints quelques médecins africains (formés en partie à Dakar) et quelques rares médecins conventionnés d’oriaine métropolifaine. Ces médecins peuvent appartenir à deux sortes de formations, les unes fixes, les qutres itinérantes. LES FORMATIONS FIXES. Ce sont : les dispensaires, les infirmeries, les ambulances, les formations sanitaires de subdivision, les hôpitaux de subdivisions et de chefs-lieux et les for¬ mations centrales : hôpitaux centraux au siède du Gouyernement du ferritoire : (Dakar, Niamey, Brazzaville, Douala, par exemple). Certains centres comportent plusieurs hôpitaux et si Institut Pasteur (Dekar. Brazaville. Kindio). Ces Instituts Pasteur recoivent les pièces histologiques en vue d’analyses, de même que certains autres laboratoires, tels que ceux de Saint¬ LoUis, Bamako, etc. Le nombre etla capacité de ces formations fxes est très variable par rapport à l’énorme superficie des territoires dont celles ci ont pratiquement ta charde. Ainsi à Brazzaville (Moyen-Conao) pour une population urbaine de 100,000 Noirs environ, il existe 5 dispensaires arqtuits, fixes, un hôpital aénéral de 700 lits avec toutes les consultations spécialisées, Il existe des formations analoques dans les centres importants le nombre des médecins semble suffisant pour la tâche ̀ accomplir. La population s’est habituée à cette forme de médecine et l’utilise volontiers, Par contre, à Pita (Guinée Française), il y a une formation médicale composée de l médecin métropolitain pour 187,000 habitants répartis en plUs de 400 aaglomérotions rurdes. LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AERIQUE ERANCAISE 22 LES FORMATIONS ITINÉRANTES. Eles fonctionnent en brousse où le problème est différent, à cause de la dispersion considérable de la population. Les médecins sont itinérants et font partie des équipes du service Mobile d’Hvaiène et de Prophylaxie. Ces médecins ont eu d’abord pour but la lute contre la maladie du sommel. puis contre la mataria et la lèpre : leur programme s’est élarai depuls peu qu dépistage en aénéral. ls fravaillent dans des conditions souvent très difficlles et sont parfois les premiers blancs que voient leurs palients, Ils sont secondés par des infirmiers noirs. Composition et nombre des membres du Corps médical adressant réqullè¬ rement leur documeptation concernant le cancer au cheflieu de chaque ter toire : DOCUMENTATION MIEDIL ATE 23 MODE D’ENREGISTREMENT. Ce syslme médical oraanisé et cependant très souple, fournit au aouver¬ nement de chaque territoire, depuis de nombreuses années, des états périodiques sur la sante, la démographie, etc., de ses administrés. En outre, il a été fait depuis 1946, à la demande de l’Ipstitut National d’Hyaiène, un efort supplémentaire en ce qui concerne le cancer, aussi bien au sommet de l’oraanisation qui fournit tous les trois mois les états au chef de rédion. qu’à l’échelon locat où sont remplis ces états, en mentionnant le maximum de ren¬ seiqnements possibles. Les documents qui font l’obiet de ce travail sont le résultat d’une enquête à laqvelle participe l’ensemble des médecins des Tarritoires Français d’Afrique Noire. Ceux-ci indiquent chqque année tous les cas de cancer qu’ils ont pu recon¬ naitre. Il s’aait donc d’une sorte d’enreaistrement couvrant l’ensemble des terri¬ toires considérés. Il faut cependant atirer l’atention sur le fait que l’on ne peut aarantir que tous les cas de cancer survenant dons la populalion étudiée ont été. enreaistrés car un certain nombre n’ont pas fait l’objet d’un examen médical. Ces documents sont envoyés à la direction du Service de Santé du Terri¬ toire, puis au Ministère de la france d’Outre-Mer à Paris qui les transmet chaque année à l’Institut National d’Hvaiène. En 1946, fut créée une « fiche tumeur » que tous les médecins de l’A. O. F. remplissaient et adressaient au laboratoire d’anatomie patholoaiquve dont ils dépendaient, en même temps qu’un prélèvement de biopsie et que les comptes¬ rendus opéraloires ou d’une qutopsie. A l’usqge, cette fiche se révéla trop complexe et fut bientêt remplacée par un imprimé plus simole dont on trouvera ci-dessous les têtes de rubriques. Ce système fut alors étendu à l’A. E. F. (1951) et à Madaaascar (1254). 2° — VALEUR DES DOCUMENTS Les documents ne sont pas toujours complets : en particulier tous les cas existants ne sont pas enreaistrés, Les médecins militaires sont répartis d’une facon inéaale et leur nombre est faible par rapport à one population très disséminée¬ IE CANCER CHEZ LE NOIR EN ATRIQUE FRANCAISE 24 Le 'ablequ l’indiqve l’évolution du nombre des cas enreaistrés chaque année : on constate une proaression à partir de 1946. Ce n’est que lorsque cette quamenfation sera arrêtée depvis plusieurs années que l’on pourra penser que l’enreaistrement a enalobé la plupart des cas exisants. La fiqure 2 montre l’importance croissante du nombre des cas enredistrés annuellement en A. O. F. Les lablequx 2 et 3 indiquent pour l’A. O. F. le pourcentade relatif des prin¬ cipales tocalisations enregistrées chaque année depuis 1240. A l’aide des nombres qu’ils contiennent ont été établis les araphiques 3 et 4. On Y remarque la constance du pourcentade des cas de cancer primitif du foie. bien que le jotal des cas enreaistrés quamente d’année en année. DOCUMENTATION MEDCALE AFRIQUE OCCIDENTALE FRANCAISE 25 26 IE CANCER CHEZ LE NOIR EN ATRIQUE TRANCAISE VALIDITE DES DIAGNOSTICS. Nous avons dit que les Instituts Pasteur et quelques laboratoires apparte¬ nant ̀ certaines formations militaires pratiquaient les examens bistoloaiques des pièces prélevées. Les fableaux 44 et 44 bis indiquent pour chaque aroupe de localisations principales la proportion des cas pour lesquels on dispose d’une cerfitude histoloaique. Si l’on lient compte des difficultés matérielles souvent con¬ sidérables qu’entrainent le simple empaquetage et l’expédition des pièces dans les conditions d’extrême humidite ou d’extrême sécherese souvent rencontrées. on admetra que la proportion alobale de vérifications bistologiques de 48 %% chez l’homme (1955) et de 47 2% chez la femme (1955) représente un pourcentade remarquable pour le moment. Pour des raisons d’oraanisalion médicale, cest en A. O. F, que les examens ont été le mieux pratiqués et suivis, Pendant la période de querre 1940-1945, les chiffres sont faibles. La période 1946-1948 correspond à celle où cete enquête a été réellement mise en marche : les pourcentages d’examens histoloaiques pratiqués ysont très élevés, c’est la période des « fiches tumeur » presque unique¬ ment pour les cas faisant l’oblet d’un prélèvement. Ensuite, après une chute im¬ portante due à l’emploi des étals récapitulatifs qui enalobent tous les cas reconnus. on constate un relèvement progressif, témoin de l’effort entrepris dans le sens d’une plus arande précision du diaanostic. C’est ainsi que pour 1954, en A. O. F. le pourcentade d’examens histologiques atteint 53 2% chez l’homme et 53 %% chez la femme. si on examine le pourcentade oraane par oraane, la dificulté du pré¬ lèvement permet d’expliquer le pourcentage moyen assez faible pour les cancers du tube diqestif (42 2% chez l’homme, 37 27 chez la femme). l en est de même pour les cancers primitifs du foie (dont nous avons réuni 1227 cas chez l’homme et 228 cas chez la femme). Ils ne sont accompaanés en (A. O. E.) d’examen histoloaique que dans 35 % des cas chez l’hommne. 31 % des cas chez la femme. Il faut indiquer dès maintenant que la fréquence relativement importante de ces cancers du foie, sur laquelle nous reviendrons, fait que, tout au moins dans les arands centres, le diaanostic clinique est facile et ne pose pas de problèmes aux médecins de ces formations, Mais il est certain que de nombreux cas doivent encore échapper dans les formations plus petiles où l’attention des médecins ne s’est pas portée sur cette affection. Les cancers de la pequ s’accompaanent fréquemment de biopsies, en parti¬ culier aux membres inférieurs car le prélèvement y est facile, ce qui explique les pourcentades élevés des examens histoloqiques : 69 2% chez l’homme, 60 2% chex la femme. 36 — NOTIONS DE ERÉQUENCE ET DE POURCENTAGE Leterme de fréquence du cancer est dans notre travail uniquement réservé au nombre de nouvequx cas de cancer survenant pendant une période de douze mois dans une réaion aéographiquement délimitée et daps l’ensemble d’une population dont la composition est connue. DOCUMENTATION MEDICALE 27 torsque nous utilisons le terme « pourcentages», il faut bien comprendre qu’il ne s’aait qve de la propopion des cas de la localisation étudiée par rapport qu total des cas enreaistrés : une lelle proportion ne peut en qucun cas tre con¬ sidérée comme éaale à celle qui existe pour l’ensemble de la popylation, on ne peut donc vtiliser à son propos le terme de « fréquence ». l convient de ne lamais oublier la rèale essentlelle suivante : aucun nombre, ni aucun pourcentage ne pev¬ vent être comparés si l’on v’a g la certitude que la documentation qui a servi à les calculer n’a pas été rassemblée dans des conditions similaires, Au cours de ce travail, nous ne donnons aucun nombre avant une valeur absolue, toute notre documentation chiffrée n’a de sianification qu’à l’intérieur de notre enquête. toute comparaison avec d’autres documenls doit être réalisée très prudemment: nous considérons que notre documenlation n’a qu’une valeur indicative proyisoire. IL. - DOCUMENTATION CONCERNANI L'ENSEMBLE DES TUMEURS MALIGNES t6 — LES LOCALISATIONS Compte tenu des remarqves faites plus haut, l’ensemble des cas recveillis de 1940 à 1255 a été réuni en une seule série présentée dans les tabtequx suivants : 8, 9, 8 bis, 9 bis. D’après ces tablequx, il ne semble pas possible pour l’instant de soulianer autre chose que : a) l’évidenle fréquence particulière du cancer primitif du foie au total : 43 26 chez l’homme, 13, % chez la femme : (Un chapitre parficulier sera consacré plus loin à cette locali¬ sation.). b) la faible importance des autres cancers du système diaestif. représentant au total : 10 % chez l’homme, 4 %% chez la femme : c) la relative rareté des cancers de la pequ comprenant les naevo¬ carcinomes. Par opposition à d’autres cancers, le pourcentqge des cancers cutanés est très constant quels que soient le sexe et les lieux aéoaraphiques : 12 % chez l’homme et 10 % chez la femme : d) l’éaallité apparente de fréquence des cancers du sein etde l’utérus chez la femme, contrairement à ce qui est rencontré habituelle¬ ment dans les populations dont le nivequ économique et social est bas et parmi lesquelles le cancer de l’utérus prédomine nete¬ ment. (Sein : 480 cas, soit 22 9% : utérus : 528 cas, soit 24 9% du total des cancers chez la femme). Quoiqu’il en soit, on est frappé par la prépondérance numérique des can¬ cers primitifs du foie chez l’homme controstant avec celle du cancer de l’utérus et du sein chez la femme noire. Pour le cancer du sein, il faut rappeler le nombre relativement important de femmes stérites rencontrées dans ces populations : peut-être y a-t-il là un élé¬ ment qui expliquerait une fréquence plus arande de cette localisation, puisqu’on « Voir poge 52 et suivantes. LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE 30 sait que ce cancer est plus souvent rencontré chez les femmes dont l’activité aénito¬ hormonale est faible. Nous manquons de données pour l’instant permettant d’établir une telle corrélation. Constatons simplement que l’on rencontre dans ces populations, d’une part un nombre anormal de femmes s'ériles, et d’autre part un taux de fécondité particulièrement élevé chez les qutres. D’après des enquêtes personnelles quprès des médecins qui ont participé qu relevé des observations, pour ce fravail, et d’après les documents que nous avons pu tire, il ne semble pas qve dans ces territoires d’Afrique francaise les femmes redoutent plus que les hommes de se présenter à une consultation médicale, même s’il s’aait d’affections aynécologiques. 29 — L’AGE AUI MOMENT DU DIAGNOSTIC DE CANCER l convient de noter tout d’abord l’impossibilité de comparer la réparti¬ tion par dae avec celle observée en EUrope ou dux U. S. A, par exemple. L’examen des données démographiques approximatives indiquées plus haut a montré le déclin rapide de la population vers la quarantaine. Ce fait explique qu’il soit normal derencontrer un petit nombre de cancers en Afrique Noire, Le calcul tenant compte de la différence d’espérance de vie à la naissance (33 ans en Afrique Noire contre 63 en moyenpne en Europe) indique que chaque cancer rencontré en Afrique Noire représente sept cancers reçonnus en Furope. Le tablea u 10 contient la répartition, par tranche d’âde de 5 années, du total des cancers enreaistrés par sexe et selon les arandes réaions aéoaraphiques. En aénéral, le sommet de la courbe de répartition des cas se trouve chez la femme dans la tranche d’âde de 5 ans plus jeune que chez l’homme. La fiqure indique la forme de cette répartition en fonction du nombre brut de cas de chaque dde, c’est-a-dire sans correction tenant compte du nombre d’individus composant chaque tranche d’Âge. Un esai basé sur la composition probable de la population a été tenté pour l’A. O. F. Tous les cas enreaistrés de 1940 à 1955 ont été additionnés et rap¬ portes è la population estimée décrite plus loin (voir tablequx 4 à 7). Il ne s’aait nullement d’un calcul de fréquence mais d’une approximation permettant de se faire une idée de la forme de la courbe de répartition vraie. Les résulats de ce calcul sont contenus dans les tablequx lI et 12. A l’aide des nombres contenus dans ces tablequx ont été réalisées les fiqures et bis. Leur examen suaaère une fréquence seton l’aqe assez semblable à celle qui est observée en Europe : précisons cependant que la partie terminate de ces courbes correspondant qux daes avancés ne doit être considérée qu’avec prudence devant l’incertitude où l’on est de la qualité des déclarations chez te Noir, à partir d’un certain dde. A priori, la forme de ces courbes ne suqaère pas que le cancer apparaisse plus tôt chez le Noir que chez le Blanc 31 DOCUMENTATION CONCERNANT IES TUMEURS MALGNES LE CANCER EN AERIQUE NOIRE ERANCAISE. 3° VARIATIONe ELON LES RÉGIOR les tableaux 8 et 9 montrent des variations dans la répartition des cancers enredistrés dans les différents territoires. Dans quelle mesure les différences observées correspondent-elles à la réalité ) II est impossible de le dire en raison des conditions de l’enreaistrement et du nombre encore trop faible des cas reconnus. L’examen de la fiqure ne permet pas de se rendre comple d’une distri¬ bofion particulière, car elle a été dessinée uniquement pour indiquer le nombre des cas enregistrés dans les diff́erentes formations sanitaires. La figure ne contient que les numéros de référence correspondant aux tableaux 14 à 27. DOCUMENTATION CONCERNANT LES TUMEURS MALIGNES 33 4° - VARIATIONS SELON LES RACES A titre indicatif une répartition des cas epregisrés a été établie selon les aroupes etbpiqves quxquels appartiennent les malades. Il a faltu procéder à des regroupements, mais il n’a pas été possible de des¬ cendre qu-dessous de 10 subdivisions ce qui montre bien la complexité de l’élément ethnique et diminve l’intérêt de cet esai, car l’ensemble des cas se trouve dinst répari enséries trop petites (par les cbiffres) et cependant non uniformes dans leurs caractères anthropoloaiques. Ne connaissant pas encore l’importance numérique réciproque des divers aroupes ethniques, il p’est pos possible de déterminer une différence de fréquence même approximative. (Voir tableaux 28 à 41 résumés dans les tableaux 42 et 43) 5° - HISTOLOGIE Uhne réoarition de l'ensemble des cas selon le résdltat de l’examen bistolo giqve est détaillée dans les tablequx 44 et 44 bis ; elle a été établie par arandes réaions aéoaraphiques et pour l’ensemble de l’Afrique Noire Française, Il s’aait là d’une indication, mais il ne semble pas possible d’en tirer un commentaire tant que le nombre des cas ne sera pas plus important. Notons cependant que pour le moment, le rapport épithélioma-sarcome est : chez l’homme : 889/352 — 2,5 (1, chez la femme : 59152 — 3871 Il faut soulianer que l’on rencontre un nombre important de lympho¬ réticulo-sarcomes dans cette réaion et que si l’on procède à la ventilation des cas étiquelés « sarçomes » on obtient la répartition suivante : chez l’homme : lympho-sarcomes : 100 57 réticulo-sarcomes : qutres sarcomes : 195 soit, sur un total de 352 de ces formes histologiques, un peu moins de la moitié sont des lympho-réticuto-sarcomes. 33 Iympho-sarcomes : chez la femme : 18 réticulo-sarcomes : 191 qutres sarcomes : chez lle, pour un fotal de 152 cas, les lympho-réticulo-sarcomes ne représenten que le tiers. Cependant, de lels rapports n’ont de sens, si l’on veut les comparer à une qutre réaion, que s’ils sont corriaés en tenant compte de la composition par dde des populations des rédions considèrées. On peut noter sur les lableaux 44 et 44 bis que pour les localisations cuta¬ nées on observe en moyenne 3l naevo-carcinomes sur un total de 258 localisations dont la nature histoloaique est précisée, soit une proportion de l naevo-carcinome pour 8 cancers cutanés. Deux tablequx complémentaires, 45 et 45 bis, indiquent année par année la proportion des cas avant eu un examen histoloaique en foncion de quelqves localisations IV: DOCUMENTS CONCERNANT LES TUMEURS MALIGNES PRMITIVES DU FOIE. 1° — IMPORTANCE RELATIVE Le cancer primitif du foie chez l’homme noir représente 43 2% du total des cancers : chez la femme 13 9%. Chex l’homme, par ordre d’importance, il est suivi par le cancer de la peau : 12 %% : chez la femme, il est précédé par le cancer du sein,: 32 2%, le cancer de l’Ulérus : 34 7%, et il est soivi par le cancer de la peau : 19 26 Notons qu’en A. O. F, les proportions ne sont pas tout à fait les mêmes puisque le cancer du sein rebrésepte 25 2% et le cancer de l’utérus 22 2% du total des cancers de la femme. Il est trop tôt pour pouvoir tenir compte de ces différences. 29 — AGE AU MOMENT DU DIAGNOSTIC DU CANCER PRMITIE DU FOIE (Tobleau 46, figures 9 et 10). Les rares auteurs qui ont pu se pencher sur le problème de l’d̂de à l’appari¬ tion du cancer primilif du foie ont eu l’Impresion que celui-ctsurviendrait chex des Individus d’Âge moindre que celui que l’on observe habituellement pour le cancer en aénéral, Il est extrs̀mement difficile d’apporter la preuve de la réalité de cete constatation, étant donné que la plupart des individus composant ces populalions ont disparu avant l’âge ou te concer est habituellement, rencontré en Europe. En comparant l’âde moyen des malades ateints de cancer du foie à l’Ade moyen des malades ateints de cancer en général, les fiqures 5, 2 et 10 montrent que les répar¬ titons sont très voisines et permettent de penser qu’il n’y a pas de diffrence importante entre ces deux groupes. DOCUMENTS CONCERNANT LES TUMEURS MALIGNES DU FOIE 39 3° — TAUX DE FRÉQUENCE PROVISOIRE DES CANCERS PRMITIES DU TOIE Un essai de construdion des courbes de fréquence supposée en fondion de l’Age est représenté dans la fiqure 11 : il est certain que l’on ne peut rien baser d’absolu sur ces courbes et qu’en parliculier on ne peut aarantir l’exactitude de ces dernières pour les daes avancés. Quoiqu’il en soit, on a l’impression dès main¬ tenant que c’est vers la cinquantaine que le taux provisoire de fréquence est le plus étevé aussi bien chez l’hompe que chez la femme : mais i est très possible que l’quamentation du nombre des cas déplace ces sommets vers les Aaes plus avancés. LE CANCER CHEZ LE NOIR EN ATRIQUE ERANCAISE 40 4° — VARIATIONIS SELON LES RÉGIONS ET LES GRQUPES ETHNIQUES (Fig, 12) Nous avons reporté sur une carte le pourcentade des cancers primlifs du foie (pour les 2 sexes) par rapport au nombre total des cas de cancers déclarés. D’autre part, la fiqure 8 montre la répartiton des formations sanitaires suivant 5 zones aéographiques qui sont du nord qu sod : la zone désertique, une zone intermédiaire de pausqde, la zone sahéllenne (steppe), une deuxième zone intermédiaire et la zone forestière, Il est très intéressant de superposer ces 2 cartes (fid. 8 et 12). Chaque zone intermédiaire enalobe les formations sanitaires situées à moins de 50 Kilomêtres de la lane de démarcation. Le pourcentqde des cancers du foie n’a été calculé que pour les séries supé¬ rieures à 20 cas de cancers par formation sanitaire. Ces nombres varient assez pro¬ aressivement d’une réaion administrative à l’autre. Il est à peu près impossible d’établir une corrélation entre tes caractères aéoaraphiques, aéologiques, clima¬ tiquesetces pourcenlaaes. Cependant ilsemble que ce soit dansiaréaion dusénéaal comprise entre Saint-touis, Dakar et le fleuve Sénéaal qve les chifres sont les plus élevés, qu’ils aient été calcules pour loute la réaion ou par lieu de recrutement. C’est dans cette réaion sahélienne qu’est implantée la plus arande partie de l’enquête, cor elle correspond à la majorité des populations de couleur, et ̀ la majorité des médecins. Si maintenant on se place dans le cadre d’one étude etbnoloaique (tableaux 28 à 43), c’est dans ta fraction ouolof des Soudanais que l’on trouve les chiffres absolus de beaucoup lès plus forts : ainsi les individus masculins ouolofs de cete région représentent à eux seuls 272 cas de cancer primitif du foie, soit 67 %% de leurs cancers totaux. Ce pourcentqde constitue le chifre maximum. Il semble que les conditions de recrutement médical ne devraient pas sofire à expliquer les chiffres énormes qui concernent les Noirs ouolofs du sexe masculin. Il semble que, dans la zone forestière ou les modes de vie sont différents. le pourcentqge des cas de cancer du foie soit moins élevé. (Voir tablequ 77 Nis de réartition par zone.). A l’opposé d’autres enqvêtes récentes, nos palents viennent souvent de la brousse ou y ont passé une partie de leur existence. Même qu Sénéqal, la majorite des cas p’est pas fournie par des citadins de naissance. 5° — HISTOLOGIE Les tableaux 44 et 44 bis contiennent le détail des examens histologiques : on y relève une prédominance considérable de la catégorie épithélioma alan¬ dulaire. En A. O. E en particulier, pour 358 épithéliomas glandulaires, on note 3 cholanaio-carcinomes et 14 autres catéaories chez l’homme : 51 épithéliomas glandulaires, 3 cholanaiocarcinomes, et 2 autres catégories chez la femme. Ainsi les épithéliomas cholanaiocellulaires, dont l’origine se situe dans le tractus biliaire intra-hépatique, ont une fréquence faible et semblable dans les 2 sexes. Au contraire, pour les épithéliomas glandulaires d’oriaine proprement hépalique, la diff́rence de fréquence dans les 2 sexes est considérable : il y a 7 fois plus de cas chez l’homme que chez la femme (d’après le tablequ des histo¬ logies faites en A. O. E.). CONCLUSION Grâce aux documents fournis réqulièrement depuis 1940 par le Servit de Santé de la France d’Outre-Mer et recueillis par les médecins militaires du cadre colonial et par ceuxdel’Assistance Médicale Indiaène, nous pouvons essaver de sché¬ matiser les caractères du cancer chezle Noir d’Afrique Française et en particulier du cancer primitif du foie. Les 6. 108 cas de cancers recueillis concernent les populations noires de l’A. O. F. et de l’A. E. F., populations implantées au sud du Sahara à l’ouest du soudan et au nord du Conao. Hormis l’homoaénéité aéoaraphique de l’enquête aucun des qutres caractères concernant le terrain ne peut être tenu pour constant. La variété des populations et de leurs modes de vie est extraordinaire. Cest donc les caractères des cancers eux-mêmes, et en particulier des cancers du foie, que nous avons essayé de décrire avec le plus de précision. La définltion du terrain est d’une complexité telle que les enquêles ethnoaraphiques en cours actuellement ne peuvent en donner une idée même aénérale. Quoiqu’il en soit, on peut soulianer quelques faits évidents : le arand nom¬ bre retatif chez les Noirs de cancers primitifs du foie qui, dans le sexe masculin. représente qux environs de 40 %% de tous les cancers enrealstrés (chez la femme 10 2%) : la faible importance des autres cancers du tube diaestif : la relative rarete des cancers de la peau à l’exception des localisations qu nivequ de la lambe et chez la femme, la fréquence des cancers du sein et de l’utérus. Il semble à première vue, que le cancer n’apparaisse pas réellement plus t6t chez le Noir que chex le Blanc, si l’on fait les corrections en fonction de l’̂de qui permettent seules de telles comparaisons. Les variations suivant les races et les réalons posent encore des problèmes d’une complexité extrême, Il n’est pas possible, pour le moment, de dire que l’on observe plus de cas de cancer du fole le lona des arands axes fluviqux : petf¬ être, par contre, sont-ils plus nombreux en zone de savane. Une restricion doit etre faite pour les chifres particulièrement élevés des cancers primitifs du foie chez les hommes ouolofs de la réalon de Dakar, dont i est important de vérifier l’exactitude. Les premlers rensejanements concernant Madagascar ont été ajoutés à ce travail en annexe. ̀ TABLEAUX 52 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE TABLEAUX 53 54 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE TABLEAUX 55 56 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE TABLEAUX 57 58 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE ESSAL DE CALCUL D’UN TAUIX DE FRÉQUENCE PROVISOIRE DU CANCER A titre d’essal, divers taux ont été calculés afin de donner une idée du niveau du minimum tel qu’il est acuellement connu. ls doivent permetre de me¬ surer les progrès à effectuer dans l’enreaistrement des cas de cancer au cours des années à venir. (Le calcul a été fait à l’aide du taux standard qui suppose une population de distribution rectanqulaire dont toutes les tranches d’Âde comporteraient un nombre éqal d’individus. Cette méthode, présentée par l’un de nous (), a le arand avantage de ne pas nécessiter la connaissance des populations avant servi au calcul des taux par tranche de 5 ans, quand on veut comparer les données de diverses régions.) (Tableaux 13 et 13 bis.). Ces tableaux, limités qux capcers en aénéral sans mention de localisation. montrent qu’il existe des digérences selon les réaions. Si l’on prend comme taux moyen chez l’homme un chigfre intermédiaire entre celui du Danemark et celui de la France, on constate qu’en A. O. E, les taux provisoires actuellement observés permetent de douter que tous les cas ont été enreaistrés et conduisent à penser. ce qui ne parait pas vraisemblable, que la fréquence du cancer dans ces rédions n’est pas comparable à celle obsecvée en Europe. A titre d’essai éqalement, nous avons calculé les taux standard provisoires pour le cancer du foie (tableaux 13 et 13 bis). Les taux estimés pour l’A. O. F. sont relativement bas et pas très différents de ceux calculés au Danemark et dux U. S. A. Chez la femme, les taux sont comparables pour l’A. O. F. et le Danemark et plus élevés qu’aux U. S. A. Répétons qu’il n’est pas possible d’accorder une valeur absolue à ces taux standard estimatifs pour l’A. O. F. et qu’il faudra attendre une documentation plus complête et plus précise pour pouvoir en firer une conclusion duelconque. Notons en particulier que le taux alobal estimé pour l’A. O. F. est le double du laux atribué provisoirement au cancer du foie. () P.F Denoix-M. P schutrepberger — Rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé. Comlt d’Experts en Stalistiques sanitaires. — Document n° 1. 62 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE TABLEAUX 63 TABLEAUX 73 74 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE TABLEAUX 75 TABLEAUX 77 92 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE TABLEAUX 97 ANNEXES MADAGASCAR Située à 400 kilomêtres de l’Afrique. Madagascar appartient par sa fqune. sa flore, sa population, à la zone de l’Océan Indien. Sous des températures tropicales, les zones se succèdent en fonction de la longitude. Les pluies portées par les alixés de l’Océan Indien tombent targement sur la moitié est, exposée aux vents et qux cyclones, de même que sur le nord-ouest. alors que la sécheresse va en s’accentuant de plus en plus vers le sud. Une plaine étroite, basse, forestière, chaude, humide, insalubre, et séparée de l’Océan par un chapelet de laqunes naviaables, précède à l’est le haut plateau central, herbeux, plus frais, avec sécheresse hivernale de deux mois : celui-ci est parsemé d’anciens massifs volcaniques. Le sud-ouest déshérité n’offre que des steppes arides : très peu d’arbres sur les savanes du platequ, végétation à feuilles caduques, surtout un vaste pâturqqe maiare (brolis de forêts). Le mois, le riz poussent sur les plateaux : le manloc au sud, le café à l’est. L’élevage du xébu se fait dans les savanes et dans les steppes : le troupequ bovin est très important, mais souvent lui-même sous-alimenté : la padie non consommée immédiatement sert à la fabrication de conserves ou est préservée par réfriqé¬ ration. ÉCONOMIE : La ration alimentaire des populations non citadines est à base de riz ou de manioc suivant les réaions : elle est pauvre en viandes. Qualitativemept, cete rdtion est tcop riche en alucides, trop pauvre en protéines et lipides animaux. en vitamines C et E : maolaré tout, les populalions aaricoles semblent celles dont l’alimentation est défciente Il est des rdions du sud où le riz manque, ou le manioc et les patates douces n’empèchent pas les famines d’automne : ces populalions sont cependant viqoureuses — elles résistent assez bien qux épidémies — c’est dire combien il faut acepter avec prudence certains calculs récents sur les apports caloriques moyens dans l’alimentation de ces populations. ANNEXES 103 POPULATION : Les populations urbaines sontlessuivantes (1952) : Tananarive : 152,000 hab. (natalité : 44 pour 1.000 hab, : mortalité : 22 pour 1.000) : Majunaa : 38,000 hab.: Tamatave : 3%.000 hlb. : Diego-Suarez : 26.00 hab. : Tuléar : 12,50 hab. Fianaraptsoa : 23,900 hab. : (natalité : 26 pour 1.000 hab, : mortalité : 17 pour 1.000 hab.). La densité alobale est de 7,2 qu Km2. Dans l’ensemble de la population les enfants reorésentent 38 à 40 9%. La natalité moyenne dans les villes est de 12 pour 1.000 ; elle est très variable: on trouve ainsi7, 5 à Tuléar, 53 dans la réaion centrale et même 57 dans certaines tribus Hoya et Beisiléo. Le taux de morti-natalité est de 50 pour 1.000 déclarations de naissances. A Tananarive : 45 pour 1.000 (les avortements sont, semble-t-il, exclus de ce chifre). Le taux de mortalité aénérale est de 20 à 22 pour 1.000 hab, avec des varian¬ tes extrêmes comme pour la natalité. Pour 100 décès totaux on relève: Enfanis : 38. adules : 46: viellards : 16. Le taux moyen de mortalité infantile est de l7l pour 1.000 naissances vivantes (1934). L’ensemble de la population de Madaaascar se ramène à 2 éléments fonda¬ mentaux : un élément noir ancien, 4 fois plus important que l’élément matais. envahisseur relativement récent. Ce dernier habite le plateau central ou lmerina. Il est habituellement improprement désiqné sous le nom de Hova : il faut t’appeler « Merina ». Un assez arand nombre de Hoyas sont métissés deoirs : ils sont, en aénéral, de petite taille, au-dessous de la moyenne : 1 m. 62, de pequ plus ou moins oliv̂tre, ils sont léaèrement proanathes, mésorhiniens dolichocéphales. Les nèares malaaches de Madaaascar peuvent se classer en 5 aroupes : Le l° aroupe habite le massif central, ce sont des Betsiléos, on Y trouve éqalement des Mérinas, et plus au sud des Baras : un 3e aroupe est celui des habitants de la ĉte est, josqu’à la-réaion forestière : plus qu sud ce sont des Antakaranas, des Beisimisarakas, etc.. Le 3" aroupe vivant dansla réaion forestière de l’est, comporte les Sihanakas dans le bassin du lac Aloatra, les Bezanozanos, etc.. Le 4° aroupe habite le sud de l’ile, ce sont les Antanosys (fort-Dauphin), les Antandroys, les Mahafalys. Le 5" aroupe est celui de la côte ouest, on le désiqne sous le nom collectif de Sakalas. Les Noirs Malaaches les plus répandus et les plus connus sont les Saka¬ laves : leur taille souvent élevée est en aénéral supérievre à la moyenne, leur peau très sombre : ils sont dolichocéphales, proanathes, platyrhinieps DOCUMENTS CONCERNANT LE CANCER Les conditions dans lesquelles se fait l’enquête à Madaaascar sont les mêmes qu’en Afrique Noire Française. Celle-ci n’a débuté qu’il y a 2 ans à Madaaascar. Mais comme on vient de le voir, le terain etlesfacteurs aéoaraphiques sont très digerens. Ainsi, le tableau A montre que la proportion des cancers primitifs du foie. rapportée qu nombre total des localisations précisées est bequcoup plus faible qu’en Afrique Noire et en particulier qu’en A. O). F. A Madaaascar, on nole chez l’homme 14 cancers du foie sur 204 cancers sout 7 9% (Afrique Noire : 43 2) er cuce la renmne : 2 % Uyrnage « one : 13 %). Cependant, dans la mesure ou 104 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE ANNEYES 105 les enquêtes faites jusqu’à présent sont suffisamment précises pour permetre d’apprécier la qualité et la quantité de l’apport alimentaire protidique, lipidique et alucidique, on constate que cet apport est très comparable en Afrique Noire et à Madaaascar. On retrouve le même déséquilibre alimentaire, les mêmes parasifoses : en un mot, les mêmes circonstances environnantes. Le tablequ R suaaère une répartilion des cas de cancer par ade, analoque à celle que nous avons indiquée pour l’A. O. E. Pour être plus précis, il faudrait connaitre la répartition par d̂de de la population à Madaaascar, dont nous ne dis¬ posons pas encore. L’examen histoloaique a été falt dans 3 %% des cas, pour les deux sexes (1954-t9S5), tabtequ c. Le cancer du sein représente 25 9% du total des cancers chez la femme (22 2% en Afrique Noire), celui de l’utérus 40 9% (24 2% en Afrique Noire), tablequ D. Quant aux cancers de la pequ, ils représentent 18 9% du total des cancers chez l’homme et 7 2% du total des cancers chez la femme : ces chifres sont assex différents de ceux observés chez les Noirs d’Afrique (10 %% dans les deux sexes). Les statistiques faites à Madaaascar portent sor un nombre d’observations beaucoup plus faible qu’en Afrique continentale. Ainsi les enquêtes cancer en Afrique Noire et à Madaaascar aboutissent à des résultats diff́rents, Il est vrai que les données aéograpbiques et ethnocra¬ phiques sont très différentes, Il ne nous est pas encore possible de faire appel à ces dernières pour rendre compte des constatations faites dans le domaine du cancer. Glossaire Elaets : ou eleis : palmier inerme à stipe épais, à feuille pinnatiséquée, à drup contegant 1 À 3 arains. C’est le palmier À huile, à huile de palmide. Apalais : palin tree. Fonio : bot. : Dilaria : aramine, céréale : se mélanae avec du Bl pour donper du poin. langmes : 691. : Dioscorea : son tubercule constitue un succédané de la pomme de lerre : c’est l’ « arrow root ». Analais : Yam or indian potatoes. Karte : bot. : Bubyrosperum : c’est l'’arbre à beurre. Manloe : bot. : Manihot ulissima dubercule). Analais : mapioc. Mals : bot, Zea mais. Angiais : maixe or Indion corn¬ M1 : bo. : Pennisetum. Anatais : miffet. Le « mil de troc » : est le mil aul est mis en réserve pour servir À des échanges dons des réaions sans système monétaire. Ndama : Dr Pales (Fouta Dialon) : « Sur les arands espaces du Bowat (terre latéritique) paissent des troupeaux de bovidés (la vache Ndam) fortune et noblesse des Peuils.. ». Patates : 89t. : tponoema batatas. Analais : syveet potatoes or spanish potatoes. Taro : ou tarot : c’est la tubercule comestible d’une plante nommée Colocase ou colocasle. (Tubercule en qnalals : tubercle). Sorabo : ou oros mil : aramninée dont il existe de très pombreuses varite, 861 : sorohum. Anglais : Kobir corn.. DOCUMENTS GÉOGRAPHIQUES ANNEXES 111 112 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE ANNEXES 113 116 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE ANNEXES 117 118 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE ANNEXES 119 120 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE ANNEXES 121 122 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE ANNEXES 123 124 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE ANNEXES 125 BIBLIOGRAPHIE Cette biblioarapbie ne peut prétendre être exhaustive, cependantnous noussommes eforcés. depuis 1946, de la rendre qussi complète que possible. Nous sianalons pour les rétérences anté¬ rieures l’important ouvrage de NINARD (Tumeurs du foie. Paris, Le François, 1950, 632 p.) qui contient une biblioaraphie très détaillée. Un numéro des ACTA de l’U, 1. C. C. Louvain, 1957, est consacré qusymposium de Kampala sur la question du cancer eu foie chex le Noir¬ I. Expérimentalion (animol, laboraloire, médecine véfripaire, etc.)........ 120 II. Etude chez l’homme (anatomie-patholoaique, diététique, laboratoire, expérimen¬ tation, problèmes voisins)......................... 127 III. Concer primilit du foie chex l’entoot..................... 131 IV. Cancer primit du foie chex l’adule blanc (clinique, diaanostic, stalistiqve)...: 135 V. Ihérgpeutique............................... 144 VI. Le cancer en Asie............................. 14 VII. Cancer dhez le Noir.......................... 148 VIII. Cancer primitif dy foie chez le Noir. .................... 154 IX. Géoaraphie, ethnographie, démoaraphie..................158 LE CANCE CHIEZ LE NOIP EN ATRIQUE PBANCAISE 128 L. EXPÉRIMENTATION. (Animal, laboraloire, médege vererrdne, crc). ADAMSTONE F. B. A lymphoblastoma occurina in vouna chicks reored on a diet treated with ferric chloride to destroy vilamin f. Am, lourn. Cancec 78 : 340-549, 1936. ANTOEOL W. 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Gouvernement de la Guinée Française Edit. (oct.) 1955 : 1: 1-43 : 3 : 1-36 : 3 : 1-3. EROMENT. GULEYSSE L’epcyclopédie coloniale et maritime, sous la direction aenérale d’Euaène Guerpier et G. Eroment-Guieysse. Paris,. Encydlopédie de t’Empire Français, 1946. COURQU tes pays tropicaux, Principes d’une aéoaraphie homaine et économique. Presses Universitaires de france, 1948. GRANDIDIER A. CRANDIDIER G Ethnoaraphie de Madaaascar, Paris 1908-1903. 163 LE CANCER CHEZ LE NOIR EN ATRIQUE TRANCAISE aute.. Afrique, lerre qui meurt 2; édit. Bcuxelles. M. Havet, 1949. IULIEN C. Madaaascar et ses dépendances. Paris, Notre domaine colonial, 1926. LEERQU G. Le Noir d’Afcriqve. 1-429, 1943, Pavot Edit, Paris. tOTTE. situation démoaraphique du distrie de Franceville (Gabon). But, tnst. Etudes Afric, 9° 6 : t6t-18t, 1953. MARIETTL P. G. tutdonuanls es tt, caune cl puaommn L28 doa, a MONTANDON C. Loloaénèse humaine. Traité d’ethnologie cyclo-culurelle et d’eraoloaie systémalique. Paris, Pavot, 1934. PALES L. TASSIN DE SAINTE PEREUSE M. Racioloaie comparative des populalions de l’Afrique Occidentale. Bull, et Mem. Soc. Anthrop, de Paris 4 : 185-296, 1253. PALES L. t’alimentation en A. O. F. Mission Anthropologique de l’A. O. F. : 1-434, 1954 (O. R. A N. A. Dakar. fdit.). PEMSSE. Trois enquêtes à Allitoaon (Toao). Institut de recberche du Todo 1 : 125 :3: 138 : 3: 1-34. RAPPORTS sur le fonctionnement technique de l’hnstltut Pasteur de l’A, 9. F. en 1955, 1.19 (Grande Imprimerie Africaine. Dakar 1955). RICHARD-MOLARD 1. Afrique Occidentale française. Collection « Union francoise » Paris,. Berger-tevrault, 1942. STATISTIQUES de population Mimislère de la Fronce dOutre-Mer, 125-1356. NOMENCLATURE DES CANCERS Nomenclature interpationale des maladies, traumotismes et causes de décès 1938, Forme développée vtilisée par les Centres anticancéreux fronçois. 38 foresamnane 36 ponenchstur 140. — Tumeur maliane de la lèvre. ts dtailn 149, 6 A. Lvre supérieure cutanéo-muqveuse 8. Lêvre supérieure muqueuse............... C. Lèvre inférieure cutanéo-muqueuse.......... 149. 1 D. Lèvre inférieure muqveuse...................... K. lèvre, partie non précisée, commissure comprise............... 140. 5 Notd. — Les localisations cutanées pures sont à ranaer sous te n° 190 ou le ne 191 A. 141. — Tumeur maliane de la lanqve. 1 c lce ce cstes au dlusatteus B. Face ventrale de la lanque, bord non compris (voir noto).............. 1 141, 8 C. Face dorsale de la lanque en avant du V linqval...................: 141, D. Partie postérieure de la lanque en arrière du'Vfinqual (vallécule exclue).. K. Parie pon spécifiée..................................... 141. Nola. — Une tumeur en feuillet de lyre envabisant à la fois la tace ventrale de la lanqve et le plancher doit être randée sous le n° 143. 143. — Tumeur maliane des a'andes sativoires. E. Parolide............ 143 3 J. Aulres alandes salivaires........... 142 S K. Glande non spécliée............ 162 3 143. — Tumeur maligne du plancher de la bouche. 170 IE CANCER CHEZ LE NOIR EN AFRIQUE ERANCAISE 144. — Tumeur pnliane de parties qutres ou pon snécitiées de la boccale. A. Voile du palais mobile (face antérievre). 8. Lvete. C. Muqveuse du palais osseux. D. Gencives. E. face interne des joues. T. Muqueyse de revetement de la branche montante du maxildre. K. Partie pon spécifiée 145. — Tumeur matiqne de l’oropbarynx. 145, R. Vallécule (foseue dloso-epialobique).............. 33377737377) 145. 8 C. Siton a'osso-pharypaien ou a'osso-amyadalien .. 133773 145, 6 D. Amvadale........................ 145, 8 E. Piliecr antérieor................. 145. 8 F. Pilier postérieur ........... G. Repli palatoalosse............. 145. 6 H. Parol postérieure de l’oropharynx......... 145. 1 175733 145. 3 R. Pantie pon spiffe....................................... Notd. — Pour respedter la Nomenclature internationale, une tymeur de la base de la lanque doit être classée sous le n° 141 (141 D). 146. — Tumeur maliane du naso-pharynx (Cavum). A. Toit, amyadale pharynaée et fossete de Rosenmuller. 8. face postérievre du vole. C. Orifce tubaire. K. Partie pon spécifiée. NOt. — Pour respecer la Nomenclature internationale, one tumeur de la trompe d’Eustache ou de l’orelle moyenne doit être classée sous le n° 160 1. 147. — Tumeor maliane de l’hypopharynx. A. Repli pharynao-épialotique. 8. Confluence des replis ary-épialotique, alosso-épialohique et pharynao-aryténoidien. C. Maraelle du larynx, repli ary-épialotique et réaion sus-arytépoidienne. D. Gouhière pharynao-tarynaée, partie haute du sinus piriforme. E. Partie basse du sinus piriforme. E. Région rétro-aryénoidienne. 6. Réaion rétro-cricoidienne (bouche de l’ogsophqge). H. Face latérale. 1. Face postérieure. R. Parlle non spécifiée. 148. — Tumeor maliqne du pharynx, de tocalisation non spécifiée 150. — Tumeur maliane de l’œsophaae. A. Gsophade 113 supérieur, jusqu’à 24 centimêtres. B. Gsophade 1/3 moyen, de 25 à 34 centimêtres. C. (Esophade 1/3 inférieur, qu-delà de 34 centimêtres. K. Partie non spécifée. 151. — Tumeur maliane de l’estomac A. Estomac pelite courbure. 3 153. 3 ANNEXES 17 C. Estomac faces. D. Estomac réaion pylorique Ni E. Estomac arosse lubérosite. F. Estomac cardia. K. Partie non spécifée. 153. — Tumeur matiane de l'intestin arête y compris le duodénum. 153, 0 A. Dyodépum ::..................................................... 152, 6 B. Aulre parle spécidée de l’intestin arête........................ 152, 6 K. Partie non spécifie............... 25355555527223 153. — Tumeur moliane du aros intestin, rectum excepte A. Coton ascendant...................... 153, 0 8. Cdecum............................ . C. Appendice........................... 153 D. Colon transverse comprenant les anales........................... 153. 4 E. Colon descendant............................................... 153, 3 F. Colon siamoide............................................. G. Rectosiamoide...................................... 3 3 1. Partie non spécifiée du tradus intestinal.................. 2.5 K. Parltie non spéefée du aros inlesin........... 1.2.7 154. — Tomeur moliqne du rectum. A. Rectum. B. Anus et canal anal, sans la marde de l’anus. K. Partie non spécifée. 155. — Tumeur maliane des voies bliaires etdu foie (spécifée conme loca¬ fisation primive). 155 A. Fole............... B. Wesiclle biliaire............... 155. 1 C. Ampoule de Vater.................... D. Canqux blidires extra-hépatiqves : K. Partie non spécifée. 156. — Tumeur maliane du toie (tocalisalion secondaire ou non sṕcifiée). 157. — Tumeur maliane du oancréas. 158. — Tumeor maliane du péritoine (primifive). 159. — Tumeur maliane des oraqnes diqestifes non spécifiés. 160. — Tumeur maliane du nez, des cavites nasales et des sinus acces¬ soires. 13 A. Vestibule narinaire.............................. B. Fosses nasales....................................... C. Sinus maxillaire évoluant dans l’infcastcudure du maxillaire supérieur... D. Sinus maxillaire développé dans la suprastructure du maxillaire supérieur et évolvant en dehors (vers la réaion malaire)....................... E. Sinus maxillaire développé dans la réaion ethmoido-maxillaire (évotuapt en 160. 2 d66n5) .................................75525237 F. Sinus maxillaire, paroi interne.................................. G. Sinus maxillaire cavité, formes en sorface, endo-sinusale, ou évolvant vers 160, a la paroi interne et la mésostrudure................................ H Hhmoide......................................... s Sinus sphénoidal, sints froptal................................... 160. 2 162. 1 164, 2 K. Localisalion non spécifiée. tE CANCER CHEZ LE NOIR EN ATRIQUE FRANCAISE 172 L. Trompe d’Eustache intra-osseuse et oreille moyenne (orifice tubaire : 146 C). 160 K. Localisation pon spéclifie................................. 161. — Tomeor maliane du larynx. A. Cordes vocales. C. Commissure aloltique antérieure. D. Epialoue face postérieure. E. Bande ventriculaire. G. Versant interne do pller ary-épialoique. H. Cavité ventriculaire. J. Sous-alotte. N. Localisdtion postérieure. K. Localisalion non spéciffée. 163. — Tomeur maliane des bronches et de la trachée : tumeur maliane du poumon spécifiée comme primitive. A. Trachée:................................................... 163, 0 8. Bronches, qu voisinqge de la bifurcation trachéale.................... C. Bronches, au-dela, mais accessibles diredement ou indirectement à l’en¬ dOscopie................................................. D. Broncho-pulmonaire non accesile à l’endoscople................ E. Alvéolaire................ F. Plêvres....................... 163. — Tumeur maliane du poumon non spécifiée comme primitive ou comme secondaire. 164. — Tumeor moligne du médiastin (non clasée ailleurs). 165. — Tumeur maliqne des oraqnes thoraciques (secondaire). 170. — Tumeor maliane du sein. A. Glande mammaire proprement dile. B. Prolongement axillaire. C. Sillon sous-mammaire. D. Momelon et canaux aaladophores. E. Sein dans son ensemble. K. Localisalion non spécifiée. 171. — Tumeur maliane du cot de l’utérus. A. Musequ de tancbe. B. Endocervicat. K. Localisation pon spécifiée. 1. — Tumeur maliane du corps de l’utérus. 173. — Tumeur maliane des autres parties de l’utérus. 174. — Tumeur maliane de l’utérus de localisation non soécifiée. 175. — Tumeur maliqne de l’ovaire, de la trompe et du liqament large 125, 9 A. Ovaires............ 8. Tcompes.................. C. Laament larae.............. 12 K. Locolisation pon sṕcifiée. 173 ANNEXES 176. — Tumeur mafiane des oraanes aénitaux de la femme, autres et non spécifiés. 176, 0 A. Vulye............ 32331333373 176. 1 B. Vadln.................. 733657335333333 176, 8 C. Glande de Bartholin........... 53333 13773 3522:: 22: 3337 D. Autres loclisolions........................................ 176, 9 K. Locallsation non spécifiée........................................... 177. — Tumeur maliane de la prostate. 178. — Tumeur maliane du testicute. 179. — TUmeor maliane des orqanes aénitaux de l’homme, qutres et non spécifiés. 179, 0 A. Verde........... 179 B. Scrotum............ 33 179, 8 C. Autres localisatons..... 12 175. 9 1532137127 N. LoCLSqIIOD horr sPccrce 180. — Tumeur maliane du rein. A. Parenchyme. 8. Bassinet. C. Uretère. K. Locallsation non spclhée. 181. — Tumeur maliane de la vesie et des autres oraanes urinaices. 151, 6 A. Vesle:............:..............7... 191. 8 8. Urêtre........................ K. Localisalion non spécifiée. 121. — Tumeur moliane de la pequ. 191, 9 O. L̂yr6s :...................................................... A. Face comprenant la face interne des narines, et limitée en bas par le rebord 191, 3 du maxillalre (paupières et oreilles exclues, voic 8 et C)............... 191 8. Pauplères supérieures, infrieures et anales......................... 191, 3 C. Oreille et conduit qudifif externe..................................... 191, 4 D. Cuir chevelu et cou.............................................. 191, 5 E. Tronc (Y compris la marde de l'’apus)............................. 191, 6 G. Membrex sUprieurs................................................ 191 2 H. Membres inférieurs................................................. 191, l. Locolisations muliples.............................................. K. Localisotion non spécifiée........................................ 191, 9 Notd. — La pature histoloalque devant toujours être indiquée, il p’est pas besoin d’attribuer aux naevo-carcinomes un numérospéciol (oncien 190). Cete rubrique inclut le myG fonaoide. 193. — Tumeur maliane de l’œil. 193. — Tumeur maliane du cervequ et des autres parties du système nerveux. A. Facéohale......... 193, 0 75..1 8. Enveloppes mépinaées.... 193. 2 25:22 ::725::772 C. Moille nerveuse.......... 193.1 12222525 655 22:763223:52522517351 193, 3 D. Merfs périphériques....................................... 193. 4 6. S)mbabhique.................................................. N. Localisdtion non spécifiée........................................... 22: 6 K. Sège non sṕcifie................. 124 LE CANCER CLIEZ IE NOIR EN AFRIQUE FRANCAISE 194. — Tumeur maliane de la alande thvroide. 195. — Tumeur maliqne des qutres alandes endocr A. Surrénale ....... B. Parathvroide...... C. ThYmUS............ D. Hypophyse, tractus cranio-phar E. Glande pinéale......... J. Autre atande............ K. Glande non spécife. 195, 0 195 196, 7 195, 3 . 195. A 73337 195, 8 196. — Tumeur maliane des 9s. A. 05 du crone et de la face ̀ l’exclusion du maxillaire ipérieur..... 186, 0 8. Maxillaire inférieur.............................................. 196. C. Colonne vertébrale (squf sacrum et coccyx).......................... 186. 2 D. Côtes, glerpum et clavicules..................................... 196, 3 E. Membre supérieur, os lonas (humérus, radius, cubitus) et omoplate. 196. A F. Membre subérieur, os couris (carpe, métacarpe, système osseux des dojats). 196. 3 G. Ceinture pelvienne (os iliqques, sacrum et coccyx).................... 196. H. Membre inférieur, os lonas (témur, tibia, péron).................... 196. 7 1. Membre intérieur, os courts (larse, métalarse, système osseux des orteils) 196, 8 K. Localisation non spécifiée................................. 196. 3 197. — Tumeur maliane du fissu conionctif E. Tête, face et cou....................4 197. 6 E. TronG.................................. 197 G. Membres supérieurs (Y compris l’épaule). 197. 72727 H. Membres inférieurs (Y compris la haoche)......................... 197. 3 K. Localisation non spécifiée.............. 197, 8 7 198. — Tumeor maligne secondaire et non spécifiée des aanalions. Iymphatiqves. A. Tête face et coun (sos-claviculoire inclus). 198, 9 8, Intra-toracique................... 198. 1 C. Intra-abdominal....................... 198, 1 D. Membre supérieur et creux axillaire...... 198. 3 . E. Membre inférieur et réaion inquinale.......................... 158, 2 E. Envahissement de plus d’un de ces aroupes...................... 198. 5 G. Aotres sièdes précisés.................... 198, 8 198. 2 192. — Tomeur maliane à localisations autres et non spécitiées. A. Localisation précisée non comprise dans 140-198...................... 199, 9 B. Localisation mal définie de la tête, de la face et du cou............... 199. 2nm903 199. 2 du bordx.............................. ̀ l'obdomen (pelvis non compris)........ 199. : 199. du pelvis................................. F. 199, 3 qux membres ........................ V G. Localisations multiples, torsque la localisation primilive n'’est pas spécifée. 195. K. Localisation pon spétiflée......................................... 199, 6 Nomenclature complémentaire substituée à la Nomendature oficille de l’O M.S, mais admise d’Experts (1352). 207. 1 ANNEXES 173 206. — Système lymphatiqve. 295, 9 A. Têle, face et cou.................... 206 B. Intralhoraciqve............. 396, 3 C. lptra-abdominal...................... 206. D. Membres supérieurs et creux axillaire........................... 206. E. Rédion ipquinale et membres inférieurs......................... 206. E. Plusieors aroupes atteints....................... .....52 296. G. AUtres localisalions spécifiées................................... 36, 2 K, Localisation non specifiée.................................... nsemble peuvent être sobslitués aux nunéros 200 Notd. — Les numéros 206 et 207 8 vlilisés e à 202 du classement internalionat. 291. — Système hématopoiétique. A. Moelle osseuse (comprenant les leucoses de nature lymphocytaire, leuco¬ 207, 9 cytaire, plasmocytaire et monocytdire)..............................: NotG. — Le n° 207 A correspond à la fois aux n°: 203-204 de la Nomenclature internationale B. Role ................. (voir note à 206). TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION............ 3 L. ǴOGRAPHIE...... 498 6 AERIQUE OCCIDENTALE FRANCAISE (AOF.).. .3 1) Mqvritanie...................1 E 2) Sénédal......................: a) Sans Dakar................ b) Dadr. . . . ...... .... 6 3) Guinée francaise................. 4) Nder........................ 5) Haute-Volta.................i. 6) Côte d’Ivoire..................... 2 7) Soudan...................1.: 3 8) Dahome"..................... 13 1060....................... ATRIQUE ÉQUATORALE FRANCAISE (AE E).. 18 8 1) Gabon. ..................... 16 2) Moyen-Condo...................: 18 3) Qubanqui-Chari................... 16 4 Ichad........................ s CAMEROUN..................... 1% 178 TARLE DES MATIERES I. ORIGINE ET SIGNIEICATION DE LA DOCUMEN¬ TATION MÉDICALE......... 21 21 1) Source des documents................... 33 2) Valeur des documents................. 3) Notions de pourcenlade et de fréquence.......... 36 HI. DOCUMENTATION CONCERNANT L’ENSEMRLE 29 DES TUMEURS MALIGNES..... 29 1) Les localisations........................ 30 2) L’âge qu moment du diqanostic de cancer.......... 31 3) Variations selon les rédions................. 35 4) Mariations selon les races................ 5) Histolodie........................ IV. DOCUMENTS CONCERMANT LES TUMEURS MALIGNES DU EOIE. 34 32 1) Importance relative.................... 37 2) Ade qu moment du diqanostic de cancer primitif du foie... 39 3) Taux de fréquence provisoire des cancers primitifs du foie... 40 4) Variation selon les rédions et les aroupes ethniques.... 40 5) Histolodie.......................... 43 CONCLUSION. TABLEAUY Documenlation selon les Territoires par localisation anatomique, aa 42 et sexe (tablequx 1 à 12).................... Essai de calcul d’un taux de fréquence provisoire du cancer (et tablequx 13)........................ 64 Tumeur maliane du foie (jableaux 14927bis et4é et 46bis)... 64 Autres localisations par dae, sexe, aroupe ethnique, rédion 78 (tablequx 28 à 45 ler)............. 45 TABIE DES MATIERES 178 ANNEXES MADAGASCAR.. 191 »::»3 3 :: » 192 GLOSSAIRE ............. DOCUIMENTS GÉOGRAPHIQUES (cartes de 1 ̀ 14).... 109 BIBLIOGRAPHIE.......... 127 NOMENCLATURE DES CANCERS..... 169 2 ACHEV D’IMPRIMER LE 28 UUIN 1 957 SUR LES PRESSES DE L. K B. SENNAC 24. Thg (Monumartre, 24 PARIS (9°) N° dipprimeur 762 INSTITUT NATIONAL D’HYCIENE 3. RUE LÉON RONNAT, 3 R 1 S: x Y 1 AUI, 32-84 536 3 9 diu 1857